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Mis à jour: 13 juin 2025
Et, quand ils seront près des degrés de lumière Par nous seuls aperçus, Tous deux seront si beaux, que Dieu dont l'oeil flamboie Ne pourra distinguer, père ébloui de joie, Bélial de Jésus! Tout sera dit. Le mal expirera, les larmes Tariront; plus de fers, plus de deuils, plus d'alarmes; L'affreux gouffre inclément Cessera d'être sourd, et bégaiera: Qu'entends-je?
Le jeune homme, grisé par le succès, reprit: Dans ton simple réduit, ouvrière gentille, Tu sembles écouter la voix du tentateur! Pauvre enfant, va, crois-moi, ne quitte pas l'aiguille. Tes parents n'ont que toi, toi seule es leur bonheur. Dans un luxe honteux trouveras-tu des charmes Lorsque, te maudissant, ton père expirera? (bis) Le pain du déshonneur se pétrit dans les larmes. Chers enfants, gardez-vous de toucher ce pain-l
De deux choses l'une: ou l'insurrection candiote persistera, ou elle expirera; ou la Crète attisera et continuera son flamboiement superbe, ou elle s'éteindra. Dans le premier cas, ce pays sera un héros; dans le second cas, il sera un martyr. Redoutable complication future. Il faut, tôt ou tard, compter avec les héros, et plus encore avec les martyrs. Les héros triomphent par la vie, les martyrs par la mort. Voyez Baudin. Craignez les spectres. La Crète morte aura l'importunité terrible du sépulcre. Ce sera un miasme de plus dans votre politique. L'Europe aura désormais deux Polognes, l'une au nord, l'autre au midi. L'ordre régnera dans les monts Sphakia comme il règne
Mais, milord, dit Schaunard, il y a un moyen de vous débarrasser de cette bête: c'est le persil. Tous les chimistes n'ont qu'un cri pour déclarer que cette plante potagère est l'acide prussique de ces animaux; faites hacher du persil sur vos tapis, et faites-les secouer par la fenêtre sur la cage de Coco: il expirera absolument comme s'il avait été invité
Quelques instants après, le docteur vint m'ausculter et déclarait qu'il n'y avait plus aucune trace de la pneumonie qui m'avait conduite aux portes du tombeau, et qui était compliquée d'une affection au foie et d'une maladie non moins sérieuse des reins. Ma santé, si éprouvée depuis plusieurs années, m'a été rendue bien meilleure. En peu de jours j'ai pu reprendre et exercer sans interruption mon office de portière avec d'autres occupations fatigantes. La nuit du Jeudi Saint, 7 avril, j'ai pu veiller avec la communauté devant le Saint Sacrement. Je prends la nourriture commune de nos Sœurs au réfectoire et ne ressens nullement aucune des indispositions des maladies précédentes. J'ai su depuis, par une religieuse du Tiers-Ordre, qu'ayant interrogé le docteur sur mon état le soir, veille de ma guérison, celui-ci avait répondu: «Elle expirera peut-être cette nuit.» Gloire soit rendue
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