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Mis à jour: 30 juin 2025
Bravo! dit Clérambault, qui ajouta aussitôt plus froidement: c'est quelque chose... Qui est ce notaire? Je le connais... Depuis combien de temps fait-il les affaires de M. de Mersanz. Depuis son émancipation. En date?... Fromenteau consulta un de ces grands papiers qui sortaient de ses poches. En date du 9 septembre 1816.
C'est mon cousin issu de germain..., répondit Barbedor, ce qui fait que la comtesse de Mersanz, sa fille, est un peu ma nièce... et, si un autre que vous avait parlé d'amant
Je n'espérais pas... Laissez donc!... je vous ai vu saluer... c'est énorme, cela! On ne me répondait jamais... On faisait mieux... on rougissait... on souriait!... Je vous dis, moi, que c'est énorme!... et, quand vous étiez passé, le caquet allait son train. Avec cette jeune fille?... la compagne de mademoiselle de Mersanz?... Maxence..., prononça tout bas le marieur.
Il s'agit de savoir, pensa tout haut le marieur, s'il est amoureux de Maxence ou de Césarine... Hein?... fit Fromenteau; Césarine de Mersanz?... Je suis bête, moi!... Vous voulez faire le mariage, c'est clair! Au lointain, du côté de l'avenue de Saxe, un son de cloche aigrelet se fit entendre. Puis de joyeux cris, des cris de jeunes filles qui prennent leur volée, s'élevèrent.
Une fois la masure partie, tout cela devait prendre un aspect véritablement seigneurial. Le comte était un homme de goût; la comtesse Béatrice, sa femme, avait un esprit charmant et d'une distinction rare. Avec la fortune qu'ils avaient, ce vieil hôtel de Mersanz ne pouvait manquer de devenir un palais entre leurs mains.
Déshonneur, non..., dit la vicomtesse; je n'emploie guère ces gros mots, madame. Ridicule, aurais-je dû dire... Chez nous, le ridicule tue mieux encore que le déshonneur... Si donc M. le comte Achille de Mersanz a pris pour femme la fille de ce pauvre capitaine Roger, je ne vois que le côté honorable et même touchant de sa conduite...
La petite vieille lui avait dit: «Vous n'épouserez pas Césarine de Mersanz!» Qu'en savait-elle? Elle avait ajouté: «Je ne veux pas!» Qu'y pouvait-elle? Quoi de commun entre l'héritière de tant de millions et ce pauvre être, plastron des petits enfants du quartier, qui gagnait sa vie
Par exemple!... commença mademoiselle de Mersanz. Tu m'interroges, interrompit Maxence; je te réponds... et puis tu te fâches... Je le crois pauvre parce qu'il fait semblant d'être riche et qu'il a un logement au cinquième dans la rue Neuve-Plumet. C'est une belle rue. Au premier, sur le devant. C'est une rue passable. Sa terrasse est un bijou.
Il y avait dans la maison occupée par les de Mersanz, au nº 34 de la rue de Grenelle, une concierge qui ne ressemblait guère
C'était plausible, surtout pour notre Léon, qui n'avait pas même l'expérience ordinaire d'un cinquième clerc. Aussi, Léon n'était embarrassé que d'une chose. Je ne sais pas, dit-il en fouillant son cerveau, je ne vois aucun moyen de vérifier cela. Quand vous gardez l'étude, insinua Clérambault. Jamais je ne garde l'étude. Savez-vous où est le dossier du comte de Mersanz! Sans doute... mais...
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