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Mis à jour: 1 mai 2025
C'est la vingt-neuvième et dernière de ses Vite d'uomini illustri fiorentini, traduites et publiées par le comte Mazzuchelli, et citées plusieurs fois dans ce chapitre. Dans son Commentaire sur le Convito du Dante.
Indépendamment de la médaille gravée par Lione Lioni, dont parle le Marcolino dans la lettre qui précède, le comte Mazzuchelli, dans sa Vie de l'Arétin , en pite une gravée par Agostino Veneziano, et trois autres que l'on peut attribuer, soit
V. Crescimbeni, t. III, p. 65. Mazzuchelli, Scritt, ital., t. II, part. II, donne les trois premiers vers de cette inconcevable production, pour échantillon de tout le reste: Squasimo Deo introcque, e a fusone Ne hai, ne hai pilorci con mattana, Al can la tigna, egli è mazzamarrone.
Philippe Villani, fils de Mathieu, et le dernier des trois illustres historiens de ce nom, outre le complément des histoires de son oncle et de son père , composa aussi un ouvrage intéressant pour l'histoire littéraire; mais il s'y renferma dans ce qui regardait sa patrie, et n'écrivit que les Vies des hommes illustres de Florence. Le comte Mazzuchelli en a publié pour la première fois , non le texte original, qui est en latin, mais une ancienne traduction italienne, avec d'amples et savantes notes. Philippe Villani fut nommé, en 1401, pour expliquer publiquement le Dante dans la chaire que Boccace avait occupée. Il y fut nommé une seconde fois, en 1404, et l'on croit qu'il mourut peu de temps après. Les titres d'Eliconio et de Solitario, que lui donnent quelques anciens manuscrits de ses Vies des hommes illustres, prouvent que, quoiqu'il eût rempli
XXIII, observe qu'on doit réunir ces deux recueils, les lettres de l'un n'étant pas les mêmes que celles de l'autre. V, p. 497; Mazzuchelli, notes sur Philippe Villani; l'abbé Mehus, Vit. Ambr. Camald., et dernièrement M. J. B. Corniani, I secoli della Letter. ital. t.
Le comte Mazzuchelli se borne
Tiraboschi, t. IV, l. III, c. 4. Voy. Philippe Villani, Vite d'uomini illustri fiorentini, traduites du latin en italien, par Mazzuchelli, p. 61; et Tirab. ub. supr.
Mehus ne fit paraître que la première partie du sien, Florence, 1741, avec une savante préface et des notes; prévenu par Lami, qui en publia un en deux volumes, Florence, 1742, il n'acheva point son édition. Lami se donna le tort de parler du modeste et savant Mehus avec beaucoup d'aigreur et d'emportement. Mazzuchelli, note 7, sur la Vie de Coluccio, par Philippe Villani, p.
Ce n'est du moins pas l'auteur que l'on doit accuser de ce qu'on y peut trouver d'inexact. Son seul tort est d'avoir manqué de critique dans un siècle où la critique n'était pas connue; ce qu'on ne peut pas plus lui reprocher que l'inélégance de son style. Voyez-en les titres dans les Scrittori ital. du comte Mazzuchelli, t. I, partie II. Muratori l'a inséré dans sa grande collection.
VI, part. II, p. 33; Mazzuchelli, Scritt. ital., t. II, part.
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