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Mis à jour: 18 mai 2025
Rose le couvait d'un regard maternel. Elle me dit, avec admiration: Est-il drôle!... est-il enfant!... Comme il est jeune pour son âge!... Après que nous eûmes siroté un petit verre de noyau, le capitaine Mauger voulut me faire les honneurs du jardin... Rose s'excusa de ne pouvoir nous accompagner,
L'intonation de ses petites phrases coupées, le clignement de ses yeux achèvent de me révéler sa situation exacte dans la maison du capitaine Mauger... Dame!... N'est-ce pas?... Un homme tout seul, et qui a encore des idées... Et puis, il y a tout de même de l'ouvrage.... Et nous allons prendre un petit garçon, pour aider...
C'est heureux... Et puis, je vous défends de vous promener avec la bonne de M. Mauger... C'est une très mauvaise connaissance pour vous... Voyez... tout est en retard, ce matin,
La première est de Hardy, avec des choeurs, jouée dès l'an 1607, et imprimée en 1626; la seconde, sous le titre de Véritable Coriolan, est de Chapoton, et fut représentée en 1638; la troisième, de Chevreau, dans la même année; la quatrième, de l'abbé Abeille, de 1676; la cinquième, de Chaligny Des Plaines, 1722; la sixième, de Mauger, 1748; la septième, de Richer, imprimée la même année; la huitième, de Gudin, mise au théâtre en 1776.
Le capitaine Mauger qui ne me parle plus et me lance, derrière la haie, des regards furieux, s'est remis avec sa famille, du moins avec l'une de ses nièces, qui est venue s'installer chez lui... Elle n'est pas mal: une grande blonde, avec un nez trop long, mais fraîche et bien faite... Au dire des gens, c'est elle qui tiendra la maison et qui remplacera Rose dans le lit du capitaine.
Elle continue: Moi, je m'appelle Rose... mam'zelle Rose... Je suis chez M. Mauger...
J'ai revu le capitaine Mauger, par-dessus la haie... Accroupi devant une plate-bande, nouvellement bêchée, il repiquait des plants de pensées et des ravenelles... Dès qu'il m'a aperçue, il a quitté son travail, et il est venu jusqu'
Par une amère ironie de sa destinée, une heure après, il rencontra sur la route, dans la pleine lumière du soleil levant, deux personnages de sa connaissance, des enfants de ses fermiers, qu'il avait mariés la semaine passée: François Corbin et Guillette Mauger. Guillette avait sur l'épaule la grosse canne de cuivre où chaque fille du pays porte son lait; François, en guise de collier sur sa blouse neuve, le talbot de sa vache et les enferges de sa Grise. A leur salut, le comte fit arrêter: «Eh bien, mes enfants, leur dit-il, vous voil
J'ai mangé des putois et des couleuvres, des rats et des grillons, des chenilles... J'ai mangé de tout... On connaît ça dans le pays, allez!... Quand on trouve une bête, morte ou vivante, une bête que personne ne sait ce que c'est, on se dit: «Faut l'apporter au capitaine Mauger.»... On me l'apporte... et je la mange... L'hiver surtout, par les grands froids, il passe des oiseaux inconnus... qui viennent d'Amérique... de plus loin, peut-être... On me les apporte... et je les mange... Je parie qu'il n'y a pas, dans le monde, un homme qui ait mangé autant de choses que moi... Je mange de tout...
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