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Mis à jour: 18 juin 2025
La cessation du feu, la retraite précipitée des débris de l'armée ne nous confirmèrent que trop l'issue funeste de la bataille; nous demandions de tous côtés des nouvelles de l'Empereur, et personne ne pouvait appaiser notre douloureuse anxiété: les uns nous assuraient qu'il avait été fait prisonnier, les autres qu'il avait été tué. Pour mettre fin aux inquiétudes qui nous oppressaient, je pris le cheval du chef de nos équipages; et, suivi d'un premier piqueur (nommé Chauvin), revenu avec Napoléon de l'île d'Elbe, je rebroussai vers Mont-St.-Jean. Après avoir vainement importuné de questions une multitude d'officiers, je rencontrai un page (le jeune Gudin) qui m'assura, que l'Empereur devait avoir quitté le champ de bataille. Je poussai plus loin. Deux cuirassiers, le sabre levé, m'arrêtèrent: Où vas-tu? Je vais
Les divisions Morand et Gudin formèrent la gauche et manoeuvrèrent sous les ordres du duc de Montebello. L'empereur se décida
La division Gudin manquait: un ordre mal écrit l'avait fait errer pendant vingt-quatre heures dans des bois marécageux; elle arriva cependant, mais affaiblie de trois cents combattans: car on ne répare ces erreurs que par des marches forcées, où les plus faibles succombent.
Le général Gudin a dirigé cette opération avec habileté: elle a été exécutée par le colonel Decouz et par le vingt-unième régiment d'infanterie de ligne, que commande cet officier. A deux heures du matin, ce régiment, partie
Un jour, Gudin en reçut deux; toutes deux lui donnaient rendez- vous pour la même heure. Gudin ne pouvait pas se dédoubler. Il fit part
À partir de ce moment, et pour le reste de la journée, il y eut deux Gudin et plus d'Eugène Sue. Le soir, chacun alla
Les soldats russes des provinces de Mohilow et de Smolensk profitent également de la proximité de leurs villages pour déserter et aller se reposer dans leur pays. La division Gudin a attaqué avec une telle intrépidité, que l'ennemi s'était persuadé que c'était la garde impériale.
Avant de quitter ma petite Lithuanienne, nous avions rejoint ensemble les derrières de la division Gudin, qui s'était réunie au troisième corps, commandé par le maréchal Ney. Il y avait encore des jours de triomphe dans cette fatale déroute, et, pour ainsi dire, quelques remords de la victoire. L'excès d'une misère commune
Les deux divisions Gudin et Morand étant prêtes, l'empereur en fit pour le moment un corps d'armée dont il donna le commandement au maréchal Lannes, qui, la veille ou l'avant-veille, était arrivé de Sarragosse. Il joignit
Le commandant Blancheville se rendit le soir au cercle de Mme Gudin. Le général Bourcier, qui s'y trouvait, ayant parlé de ce qu'il appelait mon équipée, M. Blancheville expliqua les motifs de mes irrésistibles éclats de rire. À ce récit, les généraux, les dames et tout l'état-major rirent aux larmes, et leur gaieté redoubla en voyant entrer le beau capitaine B..., qui, ayant convenablement replacé ses faux mollets, venait se pavaner dans cette brillante société, sans se douter qu'il était une des causes de son hilarité. Le général Bourcier comprit que s'il n'avait pu s'empêcher de rire aux éclats, au simple exposé du tableau que j'avais eu sous les yeux, il était naturel qu'un jeune sous-lieutenant n'eût pu se contenir, lorsqu'il avait été témoin d'un spectacle aussi ridicule. Il leva donc mes arrêts, et m'envoya chercher
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