Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 28 octobre 2025
Comme un chat, chevalier, plutôt! comme un pauvre matou! Les tigres sont plus forts que les lions, et moi, je ne tiens pas sur mes jambes. J'ai été tigre, c'est vrai, j'ai été lion... Que Dieu juge ceux qui m'ont réduit
Aussitôt une tempête d'aboiements et de miaulements éclata; on eût dit un matou aux prises avec deux ou trois chiens furieux. Bouchot apparut glissant sur la rampe, il riait
Des bouts de fumée en forme de cinq Sortaient drus et noirs des hauts toits pointus. Le ciel était gris, la bise pleurait Ainsi qu'un basson. Au loin, un matou frileux et discret Miaulait d'étrange et grêle façon. Moi, j'allais, rêvant du divin Platon Et de Phidias, Et de Salamine et de Marathon, Sous l'oeil clignotant des bleus becs de gaz.
A peine étions-nous dans la rue, que mon ami le matou se mit
C'est alors que je compris combien le mou frais est succulent. Mon ami le matou grattait les ordures en artiste. Il me fit courir jusqu'au matin, visitant chaque pavé, ne se pressant point. Pendant près de dix heures je reçus la pluie, je grelottai de tous mes membres. Maudite rue, maudite liberté, et comme je regrettai ma prison!
Il disait cela simplement, ce digne matou. Lorsque nous fûmes arrivés: Adieu, me dit-il, sans témoigner la moindre émotion. Non, m'écriai-je, nous ne nous quitterons pas ainsi. Vous allez venir avec moi. Nous partagerons le même lit et la même viande. Ma maîtresse est une brave femme... Il ne me laissa pas achever. Taisez-vous, dit-il brusquement, vous êtes un sot.
La vieille alors se baissa jusqu'au panier où dormait le matou. Elle dérangea le matou doucement, et fourragea dans ce hideux réceptacle de gueuseries, et de guenilles: vieilles écharpes, jadis roses,
C'est pourquoi, un beau soir, elle me fit présent du jeune Kédi-bey. Kédi-bey (le seigneur chat), qui devint plus tard un énorme et très imposant matou, avait alors
Des huées, presque aussitôt, éclatèrent. Regardez! regardez!... Le matou est l
Et ils feront d'étonnants soldats, ces petits paysans extra-musculeux, au front large, bas et obstiné, au regard oblique de matou, sobres de père en fils depuis les origines, sans nervosité et par suite sans frisson devant la coulée du sang rouge, n'ayant d'ailleurs que deux rêves, que deux cultes, celui de leur sol natal et celui de leurs humbles ancêtres.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche