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Mis à jour: 10 juin 2025


Ce qui fait penser qu'il écrivait au siècle dernier, dans un de ces moments de réaction la noblesse hongroise s'éloignait de la cour de Vienne et reprenait les mœurs nationales. Le poëte vante ensuite la force des Magyars, cette force qui leur est si précieuse dans la guerre ni le hurlement du Turc ni l'éclat de cent mille lances ne peuvent l'intimider. Sa force et sa bravoure en font un ennemi terrible; de l

Le poëte parle encore de la bravoure des Magyars, de leur désintéressement, de leur fidélité, de leur ardeur dans l'amour; puis il ajoute: «J'avoue qu'il y a beaucoup de belles langues; Mais l'élégante langue magyare se distingue entre toutes. Si c'est la beauté qui classe les langues, Je suis sûr qu'elles viennent toutes après la langue magyare. Le scrutateur n'y trouvera pas ces vilains défauts Que les autres langues peuvent se reprocher. Les seigneurs allemands ne comprennent pas le peuple. En Hongrie, tout le monde a la même langue: Pauvres et riches, petits et grands, tous se comprennent; Ce n'est pas l

Cependant un événement considérable allait s'accomplir sur la frontière même du pays des Magyars, et donner aux Polonais une sorte de suprématie chrétienne parmi les barbares du nord de l'Europe. Cet événement, c'était l'élévation du duc Miesco

Nous retrouvons ensuite les Magyars au Caucase, leur séjour est attesté non seulement par les traditions des peuples ainsi qu'on peut le voir dans les notes qui suivent, mais encore par les récits de l'historien arabe Mahommed-Aiwabi-Achtachi. Les Hongrois enfin ont occupé la Scythie, puis la Lébédie, ce dont tout le monde convient, et ont paru en Pannonie.

»Je m'entretenais avec eux en présence de l'interprète de l'expédition, qui parlait le turc et le russe, quoique tcherkesse de nation. Je ne fus pas peu surpris de la joie qu'ils firent éclater en apprenant que j'étais magyar, et que mon but était de chercher le berceau de mes ancêtres; mais je le fus bien davantage de les entendre protester qu'ils étaient aussi de la race des anciens Magyars, qui jadis avaient occupé, suivant la tradition de leur pays, les terres fertiles depuis l'Azow jusqu'

Chron. A l'action principale que je viens d'esquisser se joignent dans les récits traditionnels beaucoup de détails, empruntés évidemment aux chansons domestiques. Si l'on en veut croire ces vieilles poésies, les violences et les cruautés des Magyars contre les Allemands ne sont que des représailles de famille, dont l'origine remonte aux guerres d'Attila et de ses fils. Ainsi Bulchu, un des plus épouvantables héros de l'histoire hongroise, que ses actions atroces firent surnommer de son vivant Ver-Bulchu, c'est-

Vous jouez avec la pensee du sabre comme nos jeunes Magyars, toujours riants en face de la mort... Du carrefour Buci, vous prendrez la rue Dauphine, les quais, la Greve, la rue, le faubourg Saint-Antoine, toujours tout droit et vous ne tournerez qu'au coin du chemin de la Muette, a deux cents pas de la barriere du Trone.

L'institution politique des Magyars faisait de la sainte couronne plus qu'une personne civile, comme nous disons dans le langage du droit; elle en faisait presque un être animé. La sainte couronne avait sa juridiction, ses officiers, ses propriétés qui étaient inviolables , son palais, sa garde. Son palais était tantôt le château de Bude, tantôt la forteresse de Visegrade, tantôt celle de Posonie, suivant les nécessités des temps. A Bude, on la déposait dans un compartiment de l'église du château muni d'une épaisse et solide porte perpétuellement surveillée; elle-même était serrée dans un triple coffre cuirassé de fer et sous une triple clef. Sa résidence de Visegrade était encore plus forte. Construite sur un rocher

Phéniciens, Grecs, Romains, Perses, Huns, Goths, Slaves, Magyars, Turcs et tant d'autres, se sont disputé tout ou partie de ces malheureuses contrées, sans préjudice des hordes alors sauvages qui n'ont fait que les traverser, pour aller s'établir dans l'Europe centrale et occidentale, , par une lente élaboration, elles ont engendré les nationalités modernes.

Et ce superbe costume hongrois, le plus magnifique peut-être que les hommes aient jamais trouvé, ce costume d'une splendeur asiatique, qui a tout l'éclat de celui des Turcs sans en avoir la mollesse, les Magyars l'ont-ils apporté du Nord? Savez-vous quelles sont les épithètes qui, dans les glorieuses chroniques, comme dans les poésies nationales, comme dans la bouche de tous, accompagnent nécessairement le nom de Hongrois? Les voici: A' párduczos vitéz Magyar, «le vaillant Magyar couvert de peaux de panthère»; a' kaczagányos vitéz Magyar, «le vaillant Magyar couvert de peaux de tigre». Est-ce l

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