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Aristote, Politique, IV, 9, 3. Denys, II, 23. Aulu-Gelle, XII, 8. Tite-Live, XL, 59. Tibulle, II, 1. Festus, v° Amburbiales. Varron, VI, 16. Virgile, Géorg., I, 340-350. Pline, XVIII. Festus, v° Vinalia. Plutarque, Quest. rom., 40; Numa, 14. Loi de Solon, citée par Démosthènes, in Timocrat. Censorinus, 22. Macrobe, I, 14; I, 15. Varron, V, 28; VI, 27. Diogène Laërce, Vie de Socrate, 23.

La guerre avait ainsi un aspect étrange. Il faut se représenter deux petites armées en présence; chacune a au milieu d'elle ses statues, son autel, ses enseignes qui sont des emblèmes sacrés; chacune a ses oracles qui lui ont promis le succès, ses augures et ses devins qui lui assurent la victoire. Avant la bataille, chaque soldat dans les deux armées pense et dit comme ce Grec dans Euripide: « Les dieux qui combattent avec nous sont plus forts que ceux qui sont avec nos ennemis. » Chaque armée prononce contre l'armée ennemie une imprécation dans le genre de celle dont Macrobe nous a conservé la formule: « O dieux, répandez l'effroi, la terreur, le mal parmi nos ennemis. Que ces hommes et quiconque habite leurs champs et leur ville, soient par vous privés de la lumière du soleil. Que cette ville et leurs champs, et leurs têtes et leurs personnes y vous soient dévoués. » Cela dit, on se bat des deux côtés avec cet acharnement sauvage que donne la pensée qu'on a des dieux pour soi et qu'on combat contre des dieux étrangers. Pas de merci pour l'ennemi; la guerre est implacable; la religion préside

A la manière dont parle Abélard, il paraît avoir connu le texte même de Macrobe. Scip., l. L'étude des autres catégories, même celle de qualité, nous apprendrait peu de chose, et nous passons au livre III.

Elle n'y rentrait qu'en cas de divorce. Démosthènes, in Eubulid., 41. Démosthènes, in Steph., II; in Aphob. Plutarque, Thémist., 32. Denys d'Halicarnasse, II, 25. Gaius, I, 149, 155. Aulu-Gelle, III, 2. Macrobe, I, 3. Démosthènes, in Aphobum; pro Phormione.

Caton, De re rust., 143. Cicéron, Pro Domo, 40. Tibulle, I, 1, 4. Horace, Epod., II, 43. Ovide, A. A., I, 637. Virgile, II, 512. Virgile, VII, 71. Festus, v. Felicis. Plutarque, Numa, 9. Euripide, Hercul. fur., 715. Caton, De re rust., 143. Ovide, Fast., III, 698. Macrobe, Saturn., I, 12. Ovide, Fast., III:, 148. Festus, v. Felicis. Julien, Oraison

De plus, Iamblique nous a dit que le limon désignait la matière, et il ajoute ailleurs que tout mal, toute corruption viennent de la matière; ce qui, comparé au mot de Macrobe, tout est périssable, sujet au changement dans la sphère céleste, nous donne la théorie du système d'abord physique, puis moralisé, bien et du mal des anciens.

Il fait bon, ici, dit Cintra. Et il y a du linge. C'est vrai; c'est comme dans le distique. Quel distique? interrogea poliment le macrobe. Vous ne savez que ça; ce qu'on lit l'été, sur les devantures: Vu l'élévation de la température, Aujourd'hui la volaille est

Mais les vieilles formules, que citent Tite-Live, Cicéron et Macrobe, restaient comme des souvenirs du temps les deux populations ne se confondaient pas encore. Denys, IV, 43. Denys, VI, 89. PREMIÈRE R

Varron, De ling. lat., VII, 88. Hésiode, Opera, 753. Macrobe, Sat., I, 10. Cic., De legib., II, 11. Rig-Véda, tr. Langlois, t. I, p. 113. Les lois de Manou mentionnent souvent les rites particuliers

Pag. 203, lig. 13. (De la tout le système de l'immortalité de l'ame.) Dans le système des premiers spiritualistes, l'ame n'était point créée avec le corps, ou en même temps que lui, pour y être insérée; elle existait antérieurement et de toute éternité. Voici, en peu de mots, la doctrine qu'expose Macrobe