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Mis à jour: 16 juin 2025


Autant que je m'en souviens, Balakirev composait alors un concerto pour piano, dont il nous jouait des fragments. Il m'expliquait souvent la forme des compositions et leur instrumentation. C'était tout nouveau pour moi. Les goûts de son groupe allaient vers Glinka, Schumann et le dernier quator de Beethoven. Huit des symphonies de celui-ci n'étaient que médiocrement prisées par le groupe; Mendelssohn, sauf son ouverture du Songe d'une nuit d'été et le Hebriden, était peu estimé. Mozart et Haydn étaient considérés comme vieillis et naïfs; Sébastien Bach passait pour pétrifié ou tout simplement pour une nature musicale morte, sans sentiment, produisant comme une machine. Hændel, par contre, était,

Voici comment un presbytérien m'expliquait un jour l'animosité de sa secte contre les unitaires: «Les différents cultes se tolèrent mutuellement, me disait-il, parce que, bien que divergents entre eux, ils ont une base commune, la divinité de Jésus-Christ... mais les unitaires, en niant la divinité du Christ et tous les dogmes généralement adoptés, ont fait du christianisme une philosophie: or, la religion et la philosophie ne peuvent s'accorder ensemble; celle-ci est ennemie de toutes les croyances; elle s'en prend, non

Tu, vois quel monstre il est! Pendant qu'il m'expliquait ainsi ses combinaisons, en m'offrant la mort des autres, je pensais

Pour dire vrai, si, quand j'avais quinze ans, je contemplais M. Jules Sandeau, sur les quais, avec tant d'intérêt et de curiosité, c'est qu'alors je lisais Marianna pendant la classe, derrière une pile de bouquins. Que l'honnête M. Chéron, mon professeur de rhétorique, me le pardonne! Pendant qu'il m'expliquait Thucydide, j'étais aux genoux de madame de Belnave. Juste ciel! quel feu s'allumait dans mes veines! J'étais bien loin, monsieur Chéron, des verges en mi et des années de l'octaétéride dont vous nous faisiez le compte. J'étais ravi dans les sphères de la passion idéale; j'aimais, j'aimais Marianna. Je souffrais par elle, je la faisais souffrir; mais mon mal et le sien m'étaient chers. On m'a averti depuis que Marianna est un livre qui enseigne le devoir;

Elle m'expliquait dans cette lettre que ce n'était pas le hasard qui avait fait paraître si

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guèbres

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