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Mis à jour: 4 juillet 2025
Le 19 décembre 1890, 25º anniversaire de l'exécution de ma Ire symphonie, mes camarades décidèrent de fêter les vingt-cinq années de ma vie musicale. Belaïev organisa un concert de mes œuvres sous la direction de Dutch et de Glazounov. Au programme étaient la Ire symphonie, Antar, le concerto pour piano, l'Ouverture dominicale.
Field a encore laissé dans son œuvre, en outre des 18 nocturnes, 7 concertos pour piano et orchestre. Le premier, de force moyenne, est, dans son ensemble, d'un style charmant et gracieux. Les 2e, 3e, 4e sont des compositions de grande valeur; les phrases de chant ont de l'inspiration et de la noblesse; les traits légers, brillants, offrent une grande élégance; et ces concertos peuvent se placer parmi les meilleurs de l'école moderne du piano; nous ne disons pas de l'école actuelle dont les tendances sont au concerto symphonique. Les 5e, 6e, 7e concertos nous plaisent beaucoup moins. Il y a de belles pages et certaines ingéniosités, mais le style est décousu; ce sont des fantaisies d'un caractère indécis où le plan et la facture laissent
Pococurante, en attendant le dîner, se fit donner un concerto. Candide trouva la musique délicieuse. Ce bruit, dit Pococurante, peut amuser une demi-heure; mais s'il dure plus long-temps, il fatigue tout le monde, quoique personne n'ose l'avouer. La musique aujourd'hui n'est plus que l'art d'exécuter des choses difficiles, et ce qui n'est que difficile ne plaît point
En mars 1835, C. Stamaty se produisit comme compositeur et virtuose dans un concert où il exécuta son concerto de piano (op. 2). Ce morceau, d'un style élevé et correct, affirmait la science du jeune maître. Cet heureux début acheva d'établir sa réputation, et il devint le professeur de prédilection des nombreux adeptes de l'école Kalkbrenner. Ajoutons qu'il réunissait toutes les qualités propres
La catalogue de Steibelt contient 46 sonates, la plupart ont disparu, les planches ayant été détruites; citons parmi les rares survivantes l'Amante disperata, la Sonate martiale, op. 23, 37, 41, 64, sept concertos pour piano et orchestre; l'Orage et le concerto militaire sont les plus connus. On y trouve une grande richesse d'imagination, une individualité très prononcée, de la fantaisie et de la passion, mais toujours le manque d'ordre et d'enchaînement, attesté par des redites fréquentes, des longueurs fastidieuses; toutes faiblesses imputables
Mentionnons encore deux sonates pour piano seul, en fa mineur et ut mineur, un trio (op. 12), d'une excellente facture, le concerto (op. 2), enfin la célèbre transcription Plaisir d'amour, la Promenade sur l'eau, une Gigue Ecossaise, une Sicilienne dans le style ancien, la Marche Hongroise, la Petite Fileuse, la Valse des Oiseaux, la Valse des
L'orchestre sera au grand complet; il y aura au moins quinze musiciens, parmi lesquels un nègre très fort sur le flageolet, qui exécutera avec le nez le concerto en sol majeur de Collinet: ce sera du dernier beau.
Les jeunes personnes qui savent un peu de musique comprendront facilement que les nuances en partie improvisées d'après les exigences actuelles des spectateurs , ne peuvent exister que dans le chant, et que ce sont ces nuances qui produisent les miracles de la musique, miracles que l'on prête ensuite aux instruments dans le discours ordinaire, mais qu'ils sont incapables de faire naître. Est-ce que jamais de la vie on a fait recommencer une sonate? Les instruments ne touchent guère; ils font rarement couler des larmes; en revanche, ils produisent le froid plaisir de l'admiration pour la difficulté vaincue, et par conséquent tout le monde peut applaudir un concerto. Le cœur le plus froid, doublé de la tête la plus méthodique et d'une patience allemande, réussira cent fois mieux au piano que l'âme de Pergolèse. Je ne crains pas de le dire, on est plus musicien dans le vrai sens du mot, en chantant bien la romance de Blondel, de Richard Cœur de Lion, qu'en exécutant,
Elle me loge chez elle, au palais Michel, me fournit une de ses voitures, paye mon voyage, aller et retour, et me donne quinze mille francs. Je serai exténué de fatigue, malade comme je suis; mais, si je meurs, nous le verrons bien. Venez donc aussi; je vous ferai jouer votre jovial concerto de clavecin en ré mineur de S. Bach et nous rirons d'une belle manière.
Paul de Musset, dans la Biographie, expose longuement cet état navrant de l'âme de son frère pendant les premiers mois de son retour. Après d'infructueux essais de distraction, dans le monde et parmi d'anciens compagnons de plaisir, il retombait dans son besoin farouche de séquestration. Il subissait maintenant son chagrin. La musique le berçait dans une amère volupté. Certain concerto de Hummel que lui jouait sa jeune soeur et qui lui rappelait de douces soirées de Venise, l'arrachait par un enchantement soudain
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