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Mis à jour: 5 juillet 2025


Au demeurant, John Field, sans être un chef d'école, un compositeur de premier ordre, est un des maîtres les plus aimables du piano. Sa musique tendre et poétique, charme, émeut, retient.

Les leçons d'un pianiste comme Field qui possédait mieux que personne les traditions de Clementi, le maître des maîtres, étaient très recherchées; mais son inexactitude, l'état de somnolence continuelle le réduisaient ses funestes habitudes éloignèrent vite la clientèle nombreuse qu'avait attirée son talent.

Ainsi donc M. Bardel, le gardien-chef de Cold Bath field, obéissait

Field a été le créateur d'un genre de petites pièces caractéristiques désignées sous le nom générique de nocturnes, sortes de rêveries, de petites méditations musicales, la pensée, d'un sentiment tendre, parfois un peu maniéré, est le plus souvent, chez Field, accompagnée d'une basse ondulée en arpèges ou en accords brisés, bercement harmonieux qui soutient la phrase mélodique et l'anime par l'imprévu de ses modulations, mais ne dialogue que très rarement avec la partie récitante.

Si l'on oublie les travers, les faiblesses, les torts de conduite de l'homme pour ne juger que l'artiste, John Field tient dans l'histoire de l'art et plus particulièrement dans l'école du piano une des premières places.

John Field, Cramer, Zeuner, Kleugel, Bertini, Kalkbrenner furent les élèves favoris du célèbre fondateur de l'école moderne du piano; mais les virtuoses du siècle qui avaient pu connaître Clementi et lui demander ses conseils, se comptaient par centaines. Nul professeur n'a été aussi recherché, Henri Herz a pris lui aussi quelques-unes de ses leçons; Méreaux nous a souvent parlé avec une admiration reconnaissante de plusieurs heures passées dans l'intimité de l'illustre maître; mais c'est John Field qui doit rester une des expressions les plus parfaites de l'école. Clementi l'emmena avec lui, donner des concerts

Ces récits enflammaient le patriotisme de l'enfant, et plus tard, devenu un jeune homme et entré dans l'étude d'un notaire anglais, quand ses compagnons raillaient sa nationalité de vaincu, il leur répondait par ce vers de Milton. What though the field be lost? All is not lost! «Qu'importe la perte d'un champ de bataille? Tout n'est pas perdu

Hein? fit le portier-consigne. Aussi vrai que nous voyons d'ici les noires murailles de Cold Bath field, reprit cet homme, nous sommes enfants de frère. Le portier-consigne le regardait toujours. Je me nomme John Colden, dit l'homme déguenillé. C'est ma foi vrai, que nous sommes cousins, en ce cas, dit master Pin qui ne put réprimer une légère grimace. Et il tendit la main

Il n'est pas jugé, mais c'est tout comme. C'est un Irlandais qui a assassiné un gardien de Cold bath field. Comment l'appelle-t-on? John Colden. Messieurs, dit une voix sévère au seuil des bureaux,

Ainsi John Day, Nathaniel Field, Thomas Middleton, Thomas Dekkar, compagnons de Shakespeare, firent des pièces sur Moll dès 1610 jusqu'en 1659. Il paraît qu'elle vivait encore lorsqu'on publia sa vie en 1662. Toujours est-il qu'elle resta longtemps célèbre. Le capitaine Hohnson place sa biographie parmi celles des grands voleurs dans son Histoire générale des Assassins, Voleurs et Pirates, etc. ce qui indique la persistance d'une tradition. Ceux qui donnèrent

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