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Mis à jour: 21 juin 2025
Tel fut depuis Lycurgue, et surtout depuis l'établissement des éphores, le gouvernement de Sparte. Une aristocratie, composée de quelques riches, faisait peser un joug de fer sur les Hilotes, sur les Laconiens, et même sur le plus grand nombre des Spartiates. Par son énergie, par son habileté, par son peu de scrupule et son peu de souci des lois morales, elle sut garder le pouvoir pendant cinq siècles. Mais elle suscita de cruelles haines et eut
Homère, Iliade, II, 362. Varron, De ling. lat., V, 89. Isée, II, 42. Aulu-Gelle, XV, 27. Démosthènes, in Eubul. Isée, VII, IX. Lycurgue, I, 76. Schol., in Demosth., p. 438. Pollux, VIII, 105. Stobée, De republ. Pausanias, I, 15; I, 31; I, 37; II, 18. Plutarque, Thésée, 18. Id., ibid., 14. Pollux, VI, 105.
On ne meurt pas, fût-on Alcibiade en personne, pour avoir une fois par hasard mangé le brouet noir de Lycurgue. Général, répliqua l'aide de camp, laissez-moi alors vous remercier doublement de l'invitation et des conditions dans lesquelles elle est faite; peut-être vais-je partager le repas d'un Spartiate; mais un Français seul pouvait avoir la courtoisie de m'y faire asseoir.
Le mode de génération des lois anciennes apparaît clairement. Ce n'est pas un homme qui les a inventées. Solon, Lycurgue, Minos, Numa ont pu mettre en écrit les lois de leurs cités; ils ne les ont pas faites. Si nous entendons par législateur un homme qui crée un code par la puissance de son génie et qui l'impose aux autres hommes, ce législateur n'exista jamais chez les anciens. La loi antique ne sortit pas non plus des votes du peuple. La pensée que le nombre des suffrages pouvait faire une loi, n'apparut que fort tard dans les cités, et seulement après que deux révolutions les avaient transformées. Jusque-l
Plutarque, Quest. rom., 63. Strabon, IV; IX. Diodore, IV, 29. Strabon, VIII, 5. Plutarque, Lycurgue, 2. Héraclide de Pont, dans les Fragments des historiens grecs, coll. Didot, t. II, p. 11. Plutarque, Lycurgue, 4.
Tel est l'homme dont M. de Talleyrand fit choix pour être notre Solon et notre Lycurgue.
Rien n'est plus obscur que l'histoire de Lycurgue; son biographe ancien commence par ces mots: « On ne peut rien dire de lui qui ne soit sujet
VOIX AU DEHORS. Un voyageur, ouvrez! REBEC, qui a regardé par le guichet, ouvre en disant: Entrez! SCÈNE II. Les Mêmes, RABOISSON. RABOISSON. Bonjour, Rebec! REBEC. Ah! citoyen baron, plus bas, je vous en supplie! je ne m'appelle plus comme ça. RABOISSON, riant. C'est vrai, c'est vrai! Lycurgue, je crois? REBEC. Ah! miséricorde! encore moins! Ici, je suis Normand et je m'appelle Latoupe.
En général, les hommes qui font des lois sont des êtres sédentaires qui ont un cabinet d'étude rue Cassette, faubourg Saint-Germain. Ils connaissent les codes de Minos, de Solon, de Lycurgue, de Justinien, et les capitulaires de Charlemagne, mais ils ne sont pas forts en géographie. Ces législateurs ont donc inventé la déportation ou la transportation. C'est singulier! dit Maurice.
Maintenant, M. La Rouquette battait l'aile droite du Palais, les corridors interminables, les pièces réservées aux bureaux et aux commissions. Il revint par la salle des quatre colonnes, où les jeunes députés rêvent en face des statues de Brutus, de Solon et de Lycurgue; coupa de biais la salle des pas perdus; longea rapidement le pourtour, cette galerie en hémicycle, une sorte de crypte écrasée, d'une nudité blafarde d'église, éclairée au gaz nuit et jour; et, hors d'haleine, traînant derrière lui la petite troupe de députés qu'il avait ramassée dans sa battue générale, il ouvrit toute large une porte d'acajou étoilée d'or. M. de Combelot, les mains blanches, la barbe correcte, le suivait. M. de la Villardière, qui s'était débarrassé de ses deux électeurs, marchait sur ses talons. Tous montèrent d'un élan, se jetèrent dans la salle des séances où les députés, debout
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