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Mis à jour: 21 juin 2025


Rien ne donne plus de force aux lois que la subordination extrême des citoyens aux magistrats. «La grande différence que Lycurgue a mise entre Lacédémone[C95] et les autres cités, dit Xénophon[M98], consiste en ce qu'il a surtout fait que les citoyens obéissent aux lois: ils courent lorsque le magistrat les appelle. Mais

Mais dès la troisième génération la querelle s'engagea entre les rois et l'aristocratie. Il y eut pendant deux siècles une série de luttes qui firent de Sparte une des cités les plus agitées de la Grèce; on sait qu'un de ces rois, le père de Lycurgue, périt frappé dans une guerre civile.

Note C79: (p. 146). «Partagèrent les terres comme LycurgueC'est une grande erreur historique, d'après les recherches savantes de M. Fustel de Coulanges, de croire que Lycurgue a établi le partage des terres. (Voir Fustel, De la communauté

Mais un autre ordre de temps est venu; de nouvelles conditions générales ont été introduites dans le monde; un Lycurgue s'y briserait. Il faut subir son temps pour agir sur lui. M. de Maistre ne voit que les principes antiques, et les voyant vivants et pratiqués (avec moins de rigueur pourtant qu'il ne le dit) dans le passé, dans un passé récent, il a l'air de croire qu'on pourra les replanter exactement tels ou

Souple, prudent, habile, sachant que jusqu'alors ce dernier avait professé cette généreuse religion naturelle qui prêche une reconnaissante adoration pour Dieu, l'amour de l'humanité, le culte du juste et du bien, et qui, dédaigneuse du dogme, professe la même vénération pour Marc Aurèle que pour Confucius, pour Platon, que pour le Christ, pour Moïse que pour Lycurgue, le père d'Aigrigny ne tenta pas tout d'abord de convertir M. Hardy; il commença par rappeler sans cesse

Fragm. de Nicolas de Damas, tiré de Stobée, dans le recueil de Const. Porphyr. Les Samnites descendaient des Lacédémoniens; et Platon, dont les institutions ne sont que la perfection des lois de Lycurgue, donna

Ils prennent ces repas réunis en commun au nombre de douze personnes, entremêlées, sans distinction de parens ou d'étrangers. Une pareille confusion avoit également lieu chez les Spartiates, dans leurs tables publiques; mais le but n'étoit pas le même. Lycurgue avoit voulu par ce moyen affoiblir l'amour des pères pour leurs enfans et des enfans pour leurs pères, afin d'endurcir le coeur des uns et des autres, de les rendre impassibles, et conséquemment plus propres au dur métier de la guerre. Le législateur du Vallon aérien s'étoit proposé, au contraire, dans cette réunion, d'étendre

[M96] «Lycurgue, dit Xénophon (de Republ. Laced.), voulut qu'on élût les sénateurs parmi les vieillards, pour qu'ils ne se négligeassent pas, même

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