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Mis à jour: 10 juillet 2025
Cette parodie, fort piquante en effet, se trouve aussi dans le commentaire de Ménage sur Malherbe. Quand on l'aura lue, on s'expliquera pourquoi nous ne l'avons pas rapportée ici. En voici une stance: ce n'est pas la meilleure, mais c'est la seule que nous puissions décemment citer: Etre six ans
De je ne sais plus quelle histoire, lue l'hiver précédent, sur les Indiens des Grands-Lacs, j'avais retenu ceci, qui m'avait beaucoup frappé: un vieux chef Peau-Rouge, dont la fille se languissait d'amour pour un Visage-Pâle, avait fini par consentir
J'espère, mon enfant, que tu me pardonnes de ne t'avoir pas écrit la victoire que les tribunaux m'ont accordée. Dabord, j'avais de mon histoire par-dessus la tête, et, si j'avais pu oublier que j'existais, je l'aurais fait de bon coeur. J'ai permis que ma biographie matrimoniale fût insérée dans le Droit; tu la liras, ou tu l'as lue. Dispense-moi donc de t'en embêter une seconde fois.
C'est la supérieure qui avait écrit la formule du renouvellement des voeux qui devait être lue par l'héroïne de la fête; mais l'absence de Mgr Bourget, l'obligea
J'avais connaissance de l'adresse que vous avez reçue de la société des économistes, mais je ne l'ai pas lue; puisse-t-elle être digne de vous et de notre cause! Pardon de vous entretenir si longtemps de notre France. Mais vous comprendrez que les faibles vagissements qu'elle fait entendre m'intéressent presque autant que les virils accents de sir Robert.
Suivait la chanson, chantée chaque soir d'une voix douce, chanson longue, monotone, composée sur un rythme étrange, avec les intervalles impossibles, et les finales tristes de l'Orient. Quand j'aurai quitté Stamboul, quand je serai loin d'elle pour toujours, longtemps encore j'entendrai la nuit la chanson d'Aziyadé. Brightbury, décembre 1876. Chère frère, Je l'ai lue, et relue, ta lettre!
Après une hymne très éloquente aux vertus maternelles de l'intrépide Marie-Caroline, lue avec émotion, il arriva
La correspondance de Bettina et de Goethe eut, lors de sa publication, un immense, disons-le, un trop grand succès en Allemagne. L'élégante et fidèle traduction de M. Sébastien Albin sera avidement lue en France, nous en sommes certains. Toutefois madame d'Arnim ne passera pas en deç
Je vous remercie de votre charmante lettre, charmante par son style, par la cordialité qui l'a dictée, par les bonnes nouvelles qu'elle m'apporte, charmante de tout point. Je l'ai lue avec bonheur, comme un chat boit du lait.
Adieu, une dernière fois. Permettez que je termine par une parole de saint Augustin, la première que j'ai lue sur les murs de la Chartreuse:
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