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Mis à jour: 6 juin 2025


Un écrivain qui connaît parfaitement les choses de l'Amérique latine et qui s'est occupé du conflit brasilo-paraguayen, donne de la conduite du maréchal Lopez une explication qui concorde avec la nôtre. Voici, textuellement, l'appréciation de M. Théodore Mannequin dans l'Avertissement qu'il a mis

Déclarons tout de suite que ceux-ci, réclamés aussitôt par la justice paraguayenne, se livrèrent d'eux-mêmes, comptant davantage sur la générosité du maréchal Lopez que sur l'interprétation, faite par M. Washburn, dans sa correspondance officielle, des textes de Grotius, de Vattel, de Martens, de Chambrier d'Oleires, d'Hauterive et autres écrivains diplomatiques.

D'un côté, le despotisme implacable du maréchal Lopez qui empêchait les voeux de ses concitoyens d'arriver jusqu'

Eh bien, que, dans les circonstances graves que nous avons prévues, vous fermerez les yeux, et vous laisserez conduire par Mme de Fargis. La reine vous le promet, monsieur, dit Mme de Fargis en apparaissant entre la reine et l'ambassadeur, et moi je m'y engage au nom de Sa Majesté. Puis tout bas: Lopez vous regarde, dit-elle, et le tailleur de diamants vous écoute.

L'ORIGINAL DE SHYLOCK. On ignore peut-être, même parmi les médecins, que le Shylock mis en scène par Shakespeare n'a point été une imagination du dramaturge. L'original de Shylock a existé; et c'était un médecin. C'était un juif portugais, du nom de Buy, ou Boderigo Lopez, qui, grâce

La résistance héroïque du Paraguay a trompé les calculs de Mitre et ceux du cabinet de San-Christoval. Cette campagne qui devait être terminée en trois mois dure depuis plus de QUATRE ANS, et Lopez retiré dans l'intérieur du pays, non point qu'il redoute les armes des Confédérés, mais afin de séparer ceux-ci de leur escadre cuirassée, tient toujours tête aux forces de ses ennemis.

Cet article contenait l'injonction formelle adressée au gouvernement argentin «de respecter l'indépendance de la République de l'Uruguay et de ne point conquérir cette république, de ne point se l'incorporer, de ne point en faire une province de la Confédération», sous peine de se heurter contre les forces de la France. Que disait le casus belli posé au Brésil, en 1864, par le maréchal Lopez?

Quels magnifiques résultats aurait nécessairement produits l'accord de ces deux hommes: Lopez et Urquiza! D'abord, le traité du 1er mai 1865 n'aurait pas été conclu et, dès lors, la République Argentine ne se serait pas épuisée d'hommes et d'argent pour aider le Brésil

Le but de ces articles était, naturellement, de déconsidérer le gouvernement du Paraguay, et de représenter le maréchal Lopez comme un barbare pour qui rien n'était sacré, ni le droit des gens, ni l'honneur national, ni même les liens de famille.

Le fait de la conspiration étant admis, le pays se trouvait, certes, dans les deux conditions indiquées par l'article 1er du titre VII, et, conséquemment, le maréchal Lopez avait reçu de la loi «l'autorité extraordinaire» nécessitée par les circonstances.

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