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Mis à jour: 3 juin 2025


M. Lugarto souriait depuis quelques moments d'un sourire méchant et convulsif qui lui était particulier... Je lisais dans ses yeux ternes l'expression d'une joie maligne; il dit lentement en attachant un long regard sur la princesse: Je suis ignorant comme un sauvage, c'est vrai; mais il y a des choses que personne au monde que moi ne peut savoir, parce qu'il faut beaucoup d'argent pour acheter cette science-l

Environnez-moi donc, consolez-moi, génies, Pendant mes jours obscurs, mes longues insomnies. De vos magiques dons devrais-je être déçu, Moi qui, couvant des arts l'ardente frénésie, Dans les tableaux fameux lisais la poésie, Moi que sous son beau ciel la peinture a conçu?

Ce n'est pas d'aujourd'hui que les étrangers s'étonnent de l'amour de ce peuple pour son esclavage: vous allez lire un extrait de la correspondance du baron d'Herberstein, ambassadeur de l'Empereur Maximilien, père de Charles V près du Czar Vassili Iwanowich. J'en ai la mémoire fraîche, car j'ai trouvé ce passage dans Karamsin, que je lisais hier sur le bateau

Mais sans doute, je lisais les journaux, répondit l'ancien sous-préfet, avec un sourire qui montrait ses dents blanches mal rangées. Vous le saviez bien, vous m'avez vu en entrantCe mensonge effronté coupa court

Je lisais tous les jours la Bible, et j'y prenais tant de plaisir, que je n'aurais fait autre chose, si je l'avais pu. J'étais si désespéré, lorsque l'obscurité venait interrompre mes lectures, que je me serais tué si j'avais eu des armes. Un jour, je me décidai

Je lisais une lettre de mon mari. De Maurice, parti ce soir pour Paris, absent depuis neuf heures? Vous ne comprenez pas. C'est une lettre adressée

Quand je lisais ma Bible seul, ayant le choix des passages, c'était toujours la Genèse grandiose, la séparation de la lumière et des ténèbres, ou bien les visions et les émerveillements apocalyptiques; j'étais fasciné par toute cette poésie de rêve et de terreur qui n'a jamais été égalée, que je sache, dans aucun livre humain... La bête

Je lisais dans Lorédan Larchey, que Goncourt doit venir de Gundcurtis, un vieux mot germain qui signifiait, combattant, guerrier. C'est vraiment un nom, que j'ai quelque droit de porter en littérature.

Je lisais. Que lisais-je? Oh! le vieux livre austère, Le poëme éternel! La Bible? Non, la terre. Platon, tous les matins, quand revit le ciel bleu, Lisait les vers d'Homère, et moi les fleurs de Dieu. J'épèle les buissons, les brins d'herbe, les sources; Et je n'ai pas besoin d'emporter dans mes courses Mon livre sous mon bras, car je l'ai sous mes pieds. Je m'en vais devant moi dans les lieux non frayés, Et j'étudie

Cet événement m'avait rempli d'un sentiment d'incertitude sur la destinée, et d'une rêverie vague qui ne m'abandonnait pas. Je lisais de préférence dans les poètes ce qui rappelait la brièveté de la vie humaine. Je trouvais qu'aucun but ne valait la peine d'aucun effort. Il est assez singulier que cette impression se soit affaiblie précisément

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