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Mis à jour: 3 juin 2025
Beaux livres que je lisais, beaux livres que je ne lisais pas, chaud revêtement des murs du logis natal, tapisserie dont mes yeux initiés flattaient la bigarrure cachée... J'y connus, bien avant l'âge de l'amour, que l'amour est compliqué et tyrannique et même encombrant, puisque ma mère lui chicanait sa place.
Vous rencontrez contre cet enseignement moderne la coalition de tous les classiques. Je lisais récemment dans un livre de M. Renan: «Il n'y a pas de gens qu'il soit plus difficile de faire changer d'avis que les pédagogues; ils tiennent
Telle était sans doute l'opinion des anciens sur la nature des songes, comme je le lisais encore hier dans les livres de Plutarque. Mais, aujourd'hui, il vaut mieux croire que les rêves, du moins la plupart, ne sont que des efforts incohérents de la pensée et de la mémoire, qui travaillent dans une sorte d'état de fièvre durant le sommeil.
Bien entendu, le patron ne me communiquait pas ses dépêches, mais je les lisais tout de même. M. Louaisot ne réfléchit pas longtemps. Il me fit faire sa valise. Pendant que j'y travaillais, il se promenait de long en large et je l'entendais qui pensait tout haut: Olympe a tout gâté! Ce sera dur. Plus dur encore que l'histoire de l'enfant!
O maître poëte! comme je me sentais, comme je me croyais encore riche, quand, il y a un an et demi, je vous lisais au bord de la Creuse, et vous promenais avec moi en rêve le long de cette Gargilesse honorée d'une de vos rimes, petit torrent ignoré qui roule dans des ravines plus ignorées encore. Je me figurais vraiment que ce désert était
Lui, me regarda d'un mauvais regard que je ne lui connaissais pas, et qui me défiait, et où je lisais encore la fièvre et l'égarement de l'alcool. «Je vais retrouver mes amis, dit-il, des marins de mon pays, auxquels j'ai promis, et qui m'attendent.»
»J'ai un très-bel appartement dans une maison particulière; je vois quelques Vénitiens, ayant eu un bon nombre de lettres pour cette ville. J'ai une gondole. Heureusement que je lisais un peu l'italien, et le parlais depuis long-tems plus facilement que correctement. J'étudie par curiosité le dialecte vénitien, qui est doux, naïf et original, quoique pas du tout classique.
Je lisais pour la première fois le nom de cet empereur, retracé en caractères hiéroglyphiques, et on le chercherait vainement ailleurs sur toutes les constructions égyptiennes existantes entre la Méditerranée et Dakkéh en Nubie, limite extrême des édifices élevés par les
Je lus d'abord avec distraction; puis les idées me montèrent aux yeux, et je fus stupéfait de ce que je voyais. "O naïf massacreur! ô candide bourreau! m'écriai-je involontairement, que tu es un charmant enfant! Eh! d'où viens-tu, beau berger? serait-ce pas de l'Arcadie? de quels rochers descendent tes chèvres, ô Alexis?" Et en parlant ainsi je lisais: "On laisse les enfants
Je lisais dans sa pensée que l'immense fortune de M. de Chalusse l'épouvantait et qu'il avait peur d'être taxé de cupidité... J'attendis donc, avec cette angoisse secrète qui poursuit jusqu'au milieu du bonheur ceux qui ont toujours été malheureux... Je me tus, pleine de défiances, me disant qu'un si beau rêve n'était pas fait pour moi, et qu'il allait s'envoler. Il s'envola bientôt.
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