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Mis à jour: 22 juillet 2025


M. Legros n'y tient plus. Comment! malheureux, vous avez l'honneur de porter l'uniforme français... Mais il n'achève pas; le turco se dresse

Il faudrait être fou, dit M. Legros, pour ajouter foi aux affirmations du Moniteur officiel de Seine-et-Oise. Une ignoble feuille de chou que le roi de Prusse fait placarder sur nos murailles et qui ne contient que d'affreux mensonges. Personne ne devrait lire cet horrible papier. Je suis bien de votre avis, fait mon père.

Mais voici M. Legros au bout de la rue, toujours courant, rouge, suant, essoufflé. Il tend au Prussien, en se découvrant, une chose enveloppée dans du papier. C'est un énorme cigare. L'officier l'allume, paye et s'en va, au pas. Il passe devant la maison et je ferme la persienne, bien doucement, pour qu'il n'entende rien.

Il me semble que M. Legros, pour une fois, a raison. On a eu tort de briser les glaces du cafetier et de le maltraiter. Je regrette presque le caillou que j'ai lancé. Et puis, je me souviens de n'avoir pu retenir un mouvement d'admiration lorsqu'on a déployé le drapeau anglais. Il est très beau le pavillon anglais, beaucoup plus que le français. Au point de vue de la couleur, bien entendu, car, aux autres points de vue, le drapeau français est seul et unique en son genre. Je le vois flotter aux fenêtres, ce drapeau qui a fait le tour du monde... Eh bien! oui, plus je le regarde, plus je le trouve agaçant, gueulard et crapuleux. Je n'irai dire ça

Plus tard, Gluck, étant venu en France pour reproduire Orphée sur la scène de l'Académie royale de musique, fit traduire le libretto de Calzabigi par M. Molines, transposa ou fit transposer le rôle principal pour la voix de haute-contre (ténor haut) du chanteur Legros, ajouta beaucoup de morceaux nouveaux

Heureusement qu'il n'a pas vu les cochons gras! Catherine pleure toujours. Mme Arnal s'est assise auprès d'elle et la console. Mme Legros continue

Ils ont des figures larges comme des derrières de papes, grasses comme des calottes de bedeaux et rouges comme des pommes d'api. L'autre jour, j'ai assisté avec M. Legros au passage d'un cercueil allemand qu'on portait au cimetière. Les Prussiens tombent comme des mouches, m'a dit l'épicier; du reste, on s'aperçoit bien qu'ils sont tous malades.

Vous savez bien que nous avons juré de le faire... Entortillez bien le revolver, père Toussaint, le mécanisme craint l'humidité... Alors, Legros, vous disiez qu'aujourd'hui?...

C'est scandaleux!... C'est infâme!... A bas Badinguet!... A bas la Marianne!... On devrait vous fusiller!... M. Pion s'élance vers M. Legros qui a prononcé la dernière phrase. Vos osez dire... me menacer... vous! vous! Parce que vous avez tourné casaque... M. Beaudrain cherche

Et j'ai même ajouté que les Prussiens, qui ont leurs derrières assurés, trouveraient ils voudraient les ressources qui leur sont nécessaires. Ces destructions étaient donc parfaitement inutiles. Elles ont eu lieu, cependant, dit M. Legros triomphant. On a tout brûlé. Excepté, pourtant, les réserves des fourrages de l'intendance militaire,

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