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Il est presque incroyable qu'un savant tel que l'Allacci, ait fait paraître sous son nom une édition si honteusement irrégulière. On sait que ses ouvrages d'érudition, qui sont tous en latin, portent le nom de Leo Allatius. Ce recueil de poésies, et sa Dramaturgie, sont les seuls qui aient paru avec son nom italien. Ayant été successivement bibliothécaire du cardinal Barberini, et du Vatican, sous Urbain VIII, qui était de cette maison, il trouva parmi les manuscrits de ces deux bibliothèques, des poésies italiennes du premier âge. Il les publia, avec une préface qui contient des détails curieux; mais les originaux étaient pleins de lacunes, et sans doute de fautes: il dut les faire copier; les erreurs s'y multiplièrent: il négligea probablement de revoir ces copies, et de corriger l'impression. Il est impossible d'expliquer autrement le nombre et la grossièreté des fautes qu'on y trouve. Il eût suffi, pour en éviter une partie, de faire attention

Cette chanson, telle que la rapporte l'Allacci, Poeti Antichi, p. 408 et suiv., est composée de trente-deux strophes, qui paraissent en effet de cinq vers; mais alors il faut que les trois premiers soient de quinze syllabes. On a eu beau les comparer aux vers politiques des Grecs, ou

Voici cette pièce, qui, malgré la médiocrité des idées et la grossièreté du style, forme un monument curieux; elle a été publiée par l'Allacci, Poeti Antichi, etc. Peroch' amore no se po vedere E no si trata corporalemente, Quanti ne son de si fole sapere Che credono ch'amor sia niente.

Une Canzone dans le Recueil de Giunti, l. IX; une dans celui de l'Allacci, deux canzoni et cinq sonnets