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Mis à jour: 30 avril 2025
Je t'écoute, mon enfant. Eh bien, j'irai chercher une petite fille malade, je la mettrai sur mes genoux, je l'habillerai, je l'embrasserai, je la guérirai, et je lui dirai: «Appelle-moi ta petite maman.» Et elle se jeta dans les bras de Marie.
Je le crois pardieu bien, que je l'embrasserai, dit d'Artagnan, avec cela qu'il est sur notre route, et s'il a le malheur de perdre notre pauvre Athos, de ce jour, il devient mon fils. Et moi, dit Porthos, je le fais mon légataire universel. Voyons, que dit encore Athos? «Si vous rencontrez par les routes un M. Mordaunt, défiez-vous-en. Je ne puis vous en dire davantage dans ma lettre.»
Oh! non, je t'assure que je ne l'oublierai pas et quand je la rencontrerai je la reconnaîtrai tout de suite et je l'embrasserai encore. Comment, encore? est-ce que tu l'as donc embrassée?... Mais oui, maman. Ce n'est pas mal n'est-ce pas? C'est absurde, mon enfant. Embrasser une petite fille de la rue, déguenillée, sale sans doute. Non, maman, pas sale.
Oh! si je puis, je l'embrasserai. Et moi aussi, dit une compagne. Et moi, je veux qu'il m'embrasse, dit une troisième. «De qui veulent-elles parler?» pensa Jeanne. C'est qu'il est très bel homme, tu n'es pas dégoûtée, fit une dernière
Alors la mignonne se dit: C'est un vilain. Je le déteste. Il faudra que j'aille le relancer. Oui, certes, j'irai au premier jour. Je le gronderai, je l'embrasserai d'importance, et nous verrons s'il continue
Samedi 1er août. La princesse arrive au dîner nerveuse, avec des larmes colères dans la voix. Elle dit: «Demain il n'entrera pas dans ma chambre, demain je ne l'embrasserai pas.»
«Je vous entends, mon père, vous avez compté sur mon aide, répondit Michel; je suis prêt. Laissez-moi embrasser ma mère. Si vous l'embrassez, elle verra que vous partez, elle vous retiendra. Non, mais elle sera inquiète. Je ne l'embrasserai pas: partons. Chemin faisant, nous trouverons un motif
Ciel! dans huit jours! m'écriai-je. C'est un secret, reprit Thérèse; vous savez que par les nouvelles lois on ne reconnoît plus les voeux; mais le prêtre vénérable qui me conduit a tout arrangé, et si l'on ne permettoit plus aux religieuses de vivre en France en communauté, il m'a assuré un asile dans un couvent en Espagne; je vous demanderai, ma chère Delphine, de me conduire vous-même dans ma retraite avec ma fille; je l'embrasserai sur le seuil du couvent pour la dernière fois, et, après cet instant, c'est vous qui serez sa mère.
«Quel bonheur, pensa-t-elle, que Paul se soit sauvé, et que je n'aie pas pu l'attraper! Je lui aurais donné un coup de bâton qui lui aurait fait mal; maman l'aurait su, et n'aurait plus voulu me donner mon âne ni ma voiture. Quand Paul reviendra, je l'embrasserai... Il est très bon... mais il est tout de même bien taquin.»
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