Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 22 juillet 2025
Puis, malgré lui, l'écrasant succès de ses premiers livres, est l'empoisonnement de sa carrière future. Et il laisse échapper, sur la note d'une profonde tristesse: «Au fond, je ne referai plus jamais un roman qui remuera comme l'ASSOMMOIR, un roman qui se vendra comme NANA!»
Coupeau traversait justement la rue. Il faillit enfoncer un carreau d'un coup d'épaule, en manquant la porte. Il avait une ivresse blanche, les dents serrées, le nez pincé. Et Gervaise reconnut tout de suite le vitriol de l'Assommoir, dans le sang empoisonné qui lui blémissait la peau. Elle voulut rire, le coucher, comme elle faisait les jours où il avait le vin bon enfant. Mais il la bouscula, sans desserrer les lèvres; et, en passant, en gagnant de lui-même son lit, il leva le poing sur elle. Il ressemblait
Samedi 18 janvier. Première de l'ASSOMMOIR. Un publique sympathique, applaudisseur, au milieu duquel les inimitiés sourdes n'osent pas se produire. Comme les années changent les générations. Dans un retour triste sur mon frère, je ne peux m'empêcher de dire
En tous ses livres, sauf l'Assommoir, les personnages restent les mêmes du commencement
Mais l'harmonie d'une âme noble, avec un corps bien portant, est préférée par le romancier. Sylvère et Miette, l'attachement de ces deux enfants nets, chastes et tendres, sont racontés avec amour. L'honnête et drue figure de Mme François ressort sur toutes les turpitudes du Ventre de Paris. Gervaise raisonnable et fraîche, au début de l'Assommoir, est aimable; Mme Hédouin illumine de sa beauté de femme de tête l'ignoble bourgeoisie de Pot-Bouille; Denise pousse
Enfin, au bas de la rue, ils découvrirent Coupeau et Poisson dans l'Assommoir du père Colombe. Ils se tenaient debout, au milieu d'un tas d'hommes; Coupeau, en blouse grise, criait, avec des gestes furieux et des coups de poing sur le comptoir; Poisson, qui n'était pas de service ce jour-l
C'est que, dans le ménage des Coupeau, le vitriol de l'Assommoir commençait
Vous prétendez, écrivait donc le critique du Temps, que j'ai accueilli avec rudesse et mauvaise humeur l'Assommoir,
L'Assommoir fut transporté dans une petite revue littéraire, la République des Lettres, que dirigeait Catulle Mendès, le poète parnassien, aux œuvres plutôt raffinées, et dont les préoccupations artistiques, comme les tendances littéraires, semblaient si distantes des théories du naturalisme, et d'ouvrages comme les Rougon-Macquart. Il était, cependant, grand admirateur de Zola. La Faute de l'abbé Mouret, avec son Paradou, l'avait enthousiasmé. Cet accueil, fait
Zola préoccupé, en écrivant l'Assommoir, de peindre la vie ouvrière de Paris, voulait montrer les ravages que fait l'alcoolisme dans le monde du travail; une moralité, un avertissement, et un enseignement social pouvaient en provenir. Et pourtant, la seule pratique leçon
Mot du Jour
D'autres à la Recherche