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Mis à jour: 22 mai 2025


On fait ce qu'on peut, on ne fait pas ce qu'on veut... Allons, Dumanet, allons-nous-enMais moi, je n'étais pas pressé. Pendant que l'Arabe parlait, j'avais senti, comme dit l'autre, pousser une idée sous mon képi... Les idées, vous savez, ça ne pousse pas tous les jours; c'est comme le blé, il y a des saisons pour ça. Mais quand elles sont mûres, il faut les cueillir tout de suite.

Non loin de l'église se trouve le marché. Les voitures le traversent comme aux Halles centrales de Paris. À côté des tomates et des oranges, je remarque les bananes, les ananas, les mangos et autres fruits et légumes des pays tropicaux. Les vendeurs ou vendeuses sont presque tous nègres ou mulâtres. Enfin le temps s'avance et je m'empresse d'enjamber le tramway de la Maddalena. Nous traversons sur de longs ponts tubulaires plusieurs bras d'eau, et parcourons la campagne parsemée de jolies villas. Elles sont de tous les styles, depuis l'arabe fantastique jusqu'

Au lieu de l'Arabe ou du Juif, si simplement vêtu dans le tombeau d'Ousireï, l'Asie a pour représentants dans d'autres tombeaux (ceux de Rhamsès-Meïamoun, etc.) trois individus toujours

Il y avait la petite Pilar, qui comprend l'arabe parce qu'elle est fille d'un Morisque et d'une gitana.

C'était alors le temps que l'Arabe Dâher, maître de la Galilée, et résidant

De tous côtés, c'étaient des éclats de voix accompagnés d'une mimique si expressive, qu'on eût dit des gens qui se querellent. Autant l'Arabe est calme, impassible, silencieux, autant le Kabyle parle, s'agite et gesticule: celui-ci tout en dehors, celui-l

Le Lik Atskou, qui parlait un peu l'arabe, vint nous accueillir sur le seuil de sa maison. C'était un homme d'environ soixante-dix ans, grand, d'une belle prestance, ayant le teint très-foncé et une physionomie douce et intelligente; il insista pour nous défrayer, nous et notre monde; et ce fut

Ne peut-il s'exprimer dans notre langue? dit Ezzelin, qui voyait l'Arabe expliquer par signes l'arrivée d'Orio. Non, répondit Giovanna, et la femme qui sert d'interprète entre nous deux n'est point ici. Voulez-vous l'appeler?

Ibrahim, va toujours. Tu disais donc que le seigneur ne dort pas? Quel seigneur? Le lion, répondit l'Arabe. Et alors, s'il ne dort pas, qu'est-ce qu'il faitIbrahim répliqua: «Il dîne. Et quand il a dîné? Il va boire

Les prophètes étaient donc non-seulement des poëtes, des inspirés, mais des tribuns sacrés qui enseignaient le peuple par la parole, qui réchauffaient, qui l'entraînaient par l'éloquence. Seulement, dans ce peuple de l'enthousiasme, l'éloquence et la poésie fondus ensemble n'étaient qu'une seule puissance, la puissance de la parole inspirée ou de ce qu'on appelle la parole de Dieu! La langue, imagée, mais monotone comme la solitude, était oratoire et éloquente comme la liberté. C'était de l'arabe concentré, une langue forte et brève, qui n'exposait pas la pensée, mais qui la lançait au ciel ou aux hommes. On voyait qu'elle avait été construite, comme celle de Job, pour un dialogue quelquefois familier, quelquefois âpre et terrible, entre la foudre humaine et la foudre divine. C'était par conséquent l'idiome le plus lyrique qu'un poëte pût trouver tout préparé pour lui; car tout homme inspiré était prophète, tout le peuple était choeur, et Jéhova lui-même prenait la parole

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