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Mis à jour: 22 juin 2025


Quand l'Arabe a fini ses maléfices, Soranzo le presse de partir.

Je me retournai pendant une seconde et je demandai: «Ibrahim, est-ce bien ton lionMais l'Arabe ne répondit pas. Il grimpait dans le chêne, le bon moricaud, et il allait être aux premières loges pour voir comment nous nous tirerions d'affaire, Pitou et moi.» [Illustration: «Tiens, Dumanet, tu as voulu le voir: le voil

L'Arabe, qui n'avait rien dit depuis longtemps, répliqua: «Non! Comment, non! tu ne veux pas venir tuer le gueux qui t'a mangé ta FatmaIl poussa un soupir et dit: «Pauvre Fatma! Elle avait des yeux de gazelle et elle faisait si bien le couscoussouPuis, après réflexion: «Mais c'est justement parce qu'il a mangé Fatma que j'ai peur qu'il ne me mange, moi aussi,

Sa plus grande prétention, d'ailleurs, était d'être l'homme le plus volé de l'Europe... Mais s'il était, en effet, exploité indignement, scandaleusement, ce n'était pas volontairement... Il n'en avait pas moins le fonds d'avarice et de défiance de l'Arabe. On lui eût vendu deux sous des pièces de vingt francs qu'il eût encore crié au voleur...

Ce n'est plus la mosquée sévère, nue, Dieu est seul; c'est un boudoir, orné pour la prière par le goût enfantin de femmes sauvages. Souvent des galants viennent les voir en ce lieu, leur donner un rendez-vous, leur dire quelques mots en secret. Des Européens, qui parlent l'arabe, nouent ici, parfois, des relations avec ces créatures enveloppées et lentes, dont on ne voit que le regard.

Je pris le parti de garder Louis et de veiller sur lui. Comme il était peu ferré sur sa grammaire et voulait apprendre un peu l'arabe, je l'associai aux leçons que Fosco donnait

Lorsque ce sauvage pasteur connut l'usage du cheval, son état changea un peu de forme. La facilité de parcourir rapidement de grands espaces le rendit vagabond: il était avide par disette, il devint voleur par cupidité; et tel est resté son caractère. Pillard plutôt que guerrier, l'Arabe n'a point un courage sanguinaire; il n'attaque que pour dépouiller; et si on lui résiste, il ne juge pas qu'un peu de butin vaille la peine de se faire tuer. Il faut verser son sang pour l'irriter; mais alors on le trouve aussi opiniâtre

L'Arabe dégage son beurnouss et repousse le juif... Il ne sait rien, il n'a rien vu: juste au moment, il tournait la tête... Mais toi, Kaddour, tu l'as vu... tu as vu le chrétien me battre... crie le malheureux Iscariote

Pitou répliqua: «Non, ça ne lui ferait pas plaisir, au père Dumanet, pas plus de plaisir que s'il était assis toute la journée sur un cent d'épingles, la pointe en l'air. Tu vois donc bien, Pitou, qu'il faut partir sans attendre les officiers! Pour sûr! Eh bien, partonsEt alors nous allâmes chercher Ibrahim. L'Arabe n'était pas loin.

Celui-ci, anxieux, ne bouge pas, comme toujours, espérant que cette multitude d'ennemis qui viennent le troubler chez lui, disparaîtront bientôt. Mais il a compté sans l'Arabe. De son oeil perçant, l'ennemi a découvert l'animal, piteusement ramassé dans sa cachette de verdure. Le chasseur, insouciant d'allures pour mieux tromper, marche contre le vent.

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