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Mis à jour: 26 juin 2025
Consolacion en suivant le malheureux du regard: prenez garde! La manivelle tournait lentement; Társilo frottait et s'écorchait contre les pierres saillantes et les plantes immondes qui croissaient entre les crevasses. Puis, la manivelle s'arrêta; l'alférez comptait les secondes. Montez! commanda-t-il sèchement au bout d'une demi-minute.
Les connais-tu? demanda l'alférez en levant la natte. Társilo ne répondit pas; il vit le cadavre du mari de la folle avec deux autres, celui de son frère, criblé de baïonnettes et celui de José, la corde encore pendue au cou. Son regard s'assombrit et un soupir parut s'échapper de sa poitrine. Les connais-tu? lui demanda-t-on
La plus grande confusion régnait; tous parlaient, gesticulaient, couraient de côté et d'autre, descendaient dans la fosse, remontaient, consternés, ne sachant que faire. Qui est mort? respire-t-il encore? demanda l'alférez. On reconnut le cadavre: c'était celui de l'homme jaune qui se trouvait debout
On dit qu'au mois de septembre, par une journée très pluvieuse, l'alférez se rencontra avec un homme qui portait du bois. La route était inondée, il ne restait qu'un passage étroit,
L'alférez crut nécessaire d'écarter la foule, mais les pierres ne cessèrent pas de tomber, les insultes de retentir. Seule, une mère ne vengeait pas sur lui ses douleurs: Capitana Maria. Sans un geste, les lèvres serrées, les yeux remplis de larmes silencieuses, elle voyait s'éloigner ses deux fils. Devant cette immobilité et cette douleur muette, Niobé cessait d'être fabuleuse.
Les rudes indiens, comme dit le correspondant, ne pêchèrent dans ce paragraphe que les mots garde civil, tulisan, S. Diego et S. François; ils avaient observé la grimace de l'alférez, le geste belliqueux du prédicateur et ils en déduisirent que celui-ci était fâché après le garde civil parce qu'il ne poursuivait pas les tulisanes, que S. Diego et S. François s'en chargeraient, et y réussiraient très bien, comme le prouve une peinture visible au couvent de Manille, où l'on voit S. François, sans autre arme que son cordon, arrêter l'invasion chinoise dans les premières années de la découverte. Les dévotes en furent enchantées, elles remercièrent Dieu de ce secours, ne doutant pas qu'une fois les tulisanes disparus, S. François détruirait aussi les gardes civils. L'attention redoubla donc, tandis que le P. Dámaso continuait: Excellentissime señor: Les grandes choses sont toujours grandes, même
L'alférez a cinquante pesos chaque soir! murmurait un homme petit et rondelet
On le reconduisit dans la salle où l'autre prisonnier invoquait les saints, claquant des dents et fléchissant sur ses jambes. Connais-tu celui-ci? demanda le P. Salvi. C'est la première fois que je le vois! répondit Társilo en regardant l'autre avec une certaine compassion. L'alférez lui donna un coup de poing suivi d'un coup de pied. Attachez-le au banc!
L'alférez prit son casque, répara un peu le désordre de sa toilette et sortit
Ibarra conversait avec l'Alcalde dont il s'était fait un ami par quelques compliments bien tournés sur ses cordons et ses décorations: les fumées aristocratiques étaient le faible de Son Excellence; Capitan Tiago, l'alférez, quelques riches propriétaires accompagnaient la pléïade dorée des jeunes filles dont brillaient au soleil les ombrelles de soie.
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