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Mis à jour: 26 juin 2025
Une figure sombre sortit, entre deux soldats, Társilo, le frère de Bruno. Il avait les menottes aux mains, ses vêtements déchirés découvraient une musculature bien développée. Ses yeux se fixèrent insolemment sur la femme de l'alférez. C'est celui qui s'est défendu avec le plus de bravoure et commanda de fuir
Puis elle ordonna. Allons-nous en! Son mari, craignant un orage, tourna sur ses talons et obéit au commandement. Ils se rencontrèrent avec l'alférez; on se salua. Le mécontentement de Da. Victorina s'en accrut encore car, non seulement le militaire ne lui avait adressé aucun compliment sur son costume, mais elle avait cru remarquer qu'il l'avait regardée presque avec moquerie.
Pourquoi étaient fermées les fenêtres de la maison de l'alférez? Où étaient, tandis que passait la procession, la figure masculine et la chemise de flanelle de la Méduse ou de la Muse de la Garde civique? Da. Consolacion aurait-elle compris combien désagréables étaient son front marqué de grosses veines, conductrices en apparence, non de sang, mais de vinaigre et de fiel, le gros cigare, digne ornement de ses lèvres violettes, et son envieux regard? Cédant
Le curé fut reçu avec respect et déférence par tous, même par l'alférez. Mais, d'où vient Votre Révérence? demanda celui-ci en voyant son visage plein d'égratignures et son habit couvert de feuilles et de morceaux de branches sèches. Votre Révérence serait-elle tombée? Non, je me suis égaré! répondit le P. Salvi en baissant les yeux pour examiner son costume.
Près du quartier, baïonnette au fusil, des soldats parlaient avec animation, ils ne l'aperçurent pas. Dans le tribunal on entendait des cris, des coups, des plaintes, des malédictions; la voix de l'alférez surpassait et dominait tout. Au cepo ! Les menottes! Deux coups de feu
Pendant que Yeyeng sortait, habillée en femme du peuple avec le: Da Usté su permiso? et que Carvajal lui répondait: Pase usté adelante , etc., deux soldats de la Garde Civile s'approchèrent de D. Filipo, lui demandant de suspendre la représentation. Et pourquoi? demanda-t-il surpris. Parce que l'alférez et sa dame se sont battus et ne peuvent dormir.
Tous s'agenouillèrent, un murmure s'éleva comme le bourdonnement de mille moucherons. L'Alcalde plia laborieusement un genou en remuant la tête avec ennui; l'alférez était pâle et contrit: Au diable le curé! murmura un des deux jeunes gens qui venaient de Manille. Silence! répondit l'autre, sa femme nous écoute...
La vérité, señor! Qui? Qui, señor! Je te demande qui vous a commandé de faire la révolution? Quelle révolution, señor! Allons, pourquoi étais-tu hier soir dans le patio du quartier? Ah, señor! s'écria Andong en rougissant. A qui en est la faute? A ma belle-mère, señor! Le rire, puis la surprise accueillirent cette déclaration. L'alférez se retourna et regarda le malheureux d'un oeil sévère.
Celui dont le fils devait être charretier s'assombrit, l'autre secoua la tête et réfléchit. Alors ce serait aussi mauvais que betelapora , comme dit la vieille de l'alférez? C'est pire que de cracher sur l'hostie?
Mais elle ne l'entendait pas de cette façon. Elle savait qu'elle était belle, attrayante, qu'elle avait des airs de reine et que sa toilette était beaucoup plus belle et plus luxueuse que celle de Maria Clara elle-même. Aussi l'alférez avait-il dû la menacer: «Ou tu vas te taire ou je t'envoie un coup de pied dans ton p pueblo,» lui avait-il répondu.
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