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Mis à jour: 24 mai 2025
«Il a donc pris le premier la parole, et prononcé, d'une voix émue, mais nette et forte, l'adieu que voici: On me demande de dire un mot. Je ne m'attendais pas
Elle ajouta: Je l'ai mérité, tue-moi... ici... et c'est la dernière grâce que je te demande, que, morte, j'aie l'adieu de mon enfant... Frappe!
Alors, de très loin, le prêtre entendit un murmure monter de la vallée des Artaud. Autrefois, il ne comprenait pas l'ardent langage de ces terres brûlées, où ne se tordaient que des pieds de vignes noueux, des amandiers décharnés, de vieux oliviers se déhanchant sur leurs membres infirmes. Il passait au milieu de cette passion, avec les sérénités de son ignorance. Mais, aujourd'hui, instruit dans la chair, il saisissait jusqu'aux moindres soupirs des feuilles pâmées sous le soleil. Ce furent d'abord, au fond de l'horizon, les collines, chaudes encore de l'adieu du couchant, qui tressaillirent et qui parurent s'ébranler avec le piétinement sourd d'une armée en marche. Puis, les roches éparses, les pierres des chemins, tous les cailloux de la vallée, se levèrent, eux aussi, roulant, ronflant, comme jetés en avant par le besoin de se mouvoir. A leur suite, les mares de terre rouge, les rares champs conquis
Je reviendrai, promit dans les caresses et les sanglots de l'adieu le jeune gentilhomme
Nous devons aussi mentionner, dans la nomenclature des œuvres légères, de nombreux rondeaux, airs variés et de charmantes rêveries: l'Adieu, la Consolation, ma Barque légère, rondo populaire, la Matinée, rondo, les variations sur Vive Henri IV! Chantons l'hymen, etc.
Une fois de plus, je te salue, ô funèbre décembre, Une fois de plus, je te salue avec chagrin et souci; Triste était l'adieu que tu me rappelles, L'adieu avec Nancy, oh! pour ne plus nous revoir. L'au revoir des amants épris est un plaisir doux et pénible, Car l'espoir brille doucement sur la tendre heure du départ; Mais, oh! le sentiment cruel que l'adieu pour toujours!
Vous lui donnez vos jours, vos nuits, vos fatigues, vos insomnies, vos courages; vous lui donnez vos bras, vos coeurs, les pleurs de vos femmes qui tremblent pendant que vous luttez, l'adieu des enfants, des fiancées, des vieux parents, les fumées de vos hameaux envolées dans le vent; la mer, c'est le grand danger, c'est le grand labeur, c'est la grande urgence; vous lui donnez tout; vous acceptez d'elle cette poignante angoisse, l'effacement des côtes; chaque fois qu'on part, question lugubre, reverra-t-on ceux qu'on aime? La rive s'en va comme un décor de théâtre qu'une main emporte. Perdre terre, quel mot saisissant! on est comme hors des vivants. Et vous vous dévouez, hommes intrépides. Je vois parmi vos signatures les noms de ceux qui, dernièrement,
Ne vous le devais-je pas?... Vous avez été si loyal, si bon pour moi!... J'ai failli ne pas vous revoir!... Oh! le chagrin de vous perdre sans l'adieu dont j'avais hier le besoin exaspérant!... Que je vous remercie d'avoir eu pitié de moi!... Et croyez-vous que je n'eus pas pitié de moi-même?... Quand je l'ai su implacable, j'ai pleuré... Vous avez pleuré! interrompit, le Canadien, frémissant.
Toutefois Gordon est fort mal représenté dans le livre de M. Sladen, les trois spécimens de son œuvre, qui ont été insérés, se composant d'un fragment non revu, de son Poème d'adieux, et de l'Adieu d'un Exilé.
Il entendit enfin l'oncle et le neveu s'approcher de la porte, une fois leur perquisition terminée. Et, satisfait de l'adieu qu'il leur jeta sous forme d'un éclat de rire et d'une menace, il s'éloigna.
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