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Il avait incendié mon fort, que devais-je faire? l'en remercier? répondait-il

Toi le paon des paons, mer de vanité, qu'est-ce que tu jouais devant moi, sinistre enchanteur? En qui devais-je croire lorsque tu te lamentais ainsi?"

Vous me voyez navré. Ah! monsieur le marquis, devais-je m'attendre

On conçoit combien de pareils détails, que j'apprenais couchée au fond de mon lit et n'ayant pour société que mon médecin, frappé lui-même de terreur, devaient me bouleverser. Quelles craintes ne devais-je pas avoir pour le sort de mon mari, dont j'étais sans aucune nouvelle. De telles inquiétudes, que rien ne venait apaiser, auraient pu me tourner la tête, dans un moment les suites de couches et les effets du lait sont si dangereux pour les femmes. Dieu en avait ordonné autrement! Il me réservait

Après quelques instants de repos, le comte éprouva un soulagement, car il continua: Malheureux que je suis! ne devais-je pas m'attendre

Il se recueillit, puis d'un ton de reproche: Ah! monsieur, devais-je attendre cela de vous!... Pauvre Sarah!... Penser que je n'ai pas su lui épargner cette humiliation... Mais c'est la dernière, et ce matin,

SAINT-GUELTAS. Eh bien, je ne sais pas feindre, voici la vérité... Cette femme m'avait trompé, tu le sais. J'ai tué son amant dans ses bras; elle est devenue folle. Longtemps enfermée dans mon château de Marande avec un enfant infirme de corps et d'esprit que j'avais sujet de ne pas croire légitime, mais auquel j'étais forcé par la loi de laisser porter mon nom, elle avait disparu en 92 avec son fils quand ce manoir a été pris et incendié par les républicains. On a cru et j'ai croire que ces deux misérables créatures avaient été égorgées ou brûlées; mais elles s'étaient échappées, et elles s'étaient traînées jusque chez moi la veille du jour j'ai épousé Louise, dont tu connaissais la situation délicate. Pouvais-je et devais-je sacrifier son honneur et mon avenir

Quel était mon devoir en cette conjoncture? Que devais-je faire? Aller finir ma vie dans une ville lointaine, dans un pays étranger? Mais comment expliquer cette disparition

Je me suis étendu sur cette première visite pour vous montrer ce qu'était mon père dans la société de M. le maréchal d'Olonne. Ne devais-je pas me plaire dans un lieu je le voyais respecté, honoré comme il l'était de moi-même? Je me rappelais les paroles de ma mère: "sortir de son état!" Je ne leur trouvais point de sens... Rien ne m'était étranger dans la maison de M. le maréchal d'Olonne: peut-être même je me trouvais chez lui plus

J'en ai dix, dans mon tiroir, des lettres pareilles, et même plus empoignantes... Après déjeuner, vous viendrez chez moi, et je vous les montrerai. Nous rirons bien! Finissons toujours celle-ci. Naturellement. Et il reprit: «Seule, je n'eusse pas hésité... J'étais si malheureuse que la mort m'apparaissait comme un refuge. Mais que fût devenu mon enfant?... Devais-je donc le tuer et me tuer après?