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Mis à jour: 18 mai 2025


Les hommes ne sauraient jouir de la liberté politique sans l'acheter par quelques sacrifices, et ils ne s'en emparent jamais qu'avec beaucoup d'efforts. Mais les plaisirs que l'égalité procure s'offrent d'eux-mêmes. Chacun des petits incidents de la vie privée semblent les faire naître, et pour les goûter il ne faut que vivre.

Oh! père, mon père, j'ai eu peur, une peur lâche, indigne, peur de vous surtout, de vous si bon, et trompé par moi, peur pour lui encore, vous l'auriez tué pour moi aussi, peut-être, est-ce que je sais, j'étais affolée, éperdue, j'ai cru l'acheter encore une fois ce misérable qui m'aimait aussi, quelle honte!

Quel marchand extraordinaire! s'exclama mon amie, en rassemblant ses paquets et en sortant majestueusement indignée. C'est leur manière, expliquai-je. Voici la marchandise. Si vous voulez l'acheter, vous pouvez l'avoir. Si vous n'y tenez pas, ils aimeraient tout autant que vous ne vinssiez pas leur en parler.

C'était lui qui commandait maintenant, lui qui menaçait. Comme il avait lu dans mon âme pour se tenir devant moi dans une attitude semblable!... Et la passion se déchaînait en moi, furieuse. J'apercevais la vérité de ma situation. Cet homme avait aimé ma mère assez follement pour l'acheter au prix du meurtre de son plus intime ami, et il l'aimait assez profondément, après tant d'années, pour ne pas vouloir perdre un seul des jours qu'il pouvait encore passer auprès d'elle. Et c'était vrai aussi, que je ne trouverais jamais en moi l'énergie de révéler ce mystère affreux

«Vous... vous n'y êtes pas bien attaché, j'imagine, poursuivit-il, en tremblant d'anxiété. Vous ne seriez pas fâché de la vendre? Ah! ben oui! qui voudrait l'acheter? répondit l'homme avec une expression de visage qu'il s'imaginait probablement rendre très-rusée. Je vous en donnerai une demi-guinée sur-le-champ, reprit M. Pickwick, si vous voulez la retirer de terre

Le joli petit visage de Dora s'allongeait, et elle avançait ses lèvres, comme si elle voulait fermer les miennes par un de ses baisers. «Sauriez-vous l'acheter, ma petiterépétais-je alors d'un air inflexible. Dora réfléchissait un moment, puis elle répondait d'un air de triomphe: «Mais le boucher saurait bien me la vendre; est-ce que ça ne suffit pas? Oh! David que vous êtes niais

Je m'en fus donc un matin, en traîneau, avec un sac d'argent chercher cette négresse, nommée Judith, chez son maître Wilbeck. Ce dernier était le frère de l'homme d'affaires de M. Renslaër. Je lui dis que j'avais appris par le Petroon son intention de vendre la négresse Judith. Il s'en défendit, prétextant qu'elle lui était très utile. Je lui répondis qu'il n'ignorait pas que l'on ne pouvait refuser de vendre un nègre quand il le demandait; que cette femme lui en avait témoigné le désir, mais qu'il l'avait battue au point de la tuer et qu'elle en était encore malade. Brutalement il répliqua qu'elle pourrait chercher un maître quand elle serait guérie. «Faites-la appeler, lui dis-je, elle en a trouvé unElle vint. En apprenant que j'avais acheté son mari et que je voulais l'acheter également pour les réunir, la pauvre femme tomba pâmée sur une chaise. Alors Wilbeck, qui connaissait mes relations avec M. Renslaër, ne résista pas plus longtemps. Je lui comptai l'argent et prévint Judith que son mari viendrait le lendemain la chercher, ainsi que sa petite fille. Celle-ci, âgée de trois ans moins quelques mois, devait suivre sa mère, d'après la loi. C'est ainsi que notre ménage noir se trouva formé. Nous eûmes véritablement beaucoup de bonheur. La femme comme l'homme étaient d'excellents sujets, actifs, laborieux, intelligents. Ils s'attachèrent

«Alors, continua Jory qui s'excusait de ne pas lui avoir envoyé le matin un livre qu'elle désirait, alors, j'allais donc l'acheter, hier soir, vers dix heures, lorsque j'ai rencontré Fagerolles... Tu mens», dit-elle en l'interrompant d'une voix nette.

À merveille, dit Lorin, d'autant plus que, de l'intérieur, tu nous ouvriras la porte. Volontiers, dit Maurice. Mais n'allez pas dégarnir le passage et venir sans que je vous appelle. Tout ce qui se passera dans l'intérieur, je le verrai du jardin. Tu connais donc la maison? demanda Lorin. Autrefois, j'ai voulu l'acheter.

La maison, pas de danger!... Ils parlaient de l'acheter l'année dernière, ils en donnaient quatre-vingt mille francs, le double de ce qu'elle vaut aujourd'hui. Mais le propriétaire, un ancien fruitier, un gredin comme eux, a voulu les faire chanter. Et, d'ailleurs, ils se méfient de moi, ils savent bien que je céderais encore moins... Non! non! j'y suis, j'y reste!

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