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Mis à jour: 31 mai 2025


L'épidémie s'était abattue sur un village environnant Voraczy, elle sévissait avec violence dans les demeures pauvres, souvent mal tenues, les prescriptions hygiéniques des médecins demeuraient lettre close. Bien des cercueils, petits et grands, avaient déj

Le capitaine anglais seul est inconsolable. Le médecin a déclaré en vain que l'épidémie ne présentait plus de danger pour la plupart des malades, et qu'avec les soins qu'il a prescrits leur rétablissement serait assuré, le malheureux capitaine sent trop, pour partager la joie commune, que le mal qui le dévore est sans remède. Le médecin, qui soupçonne et qui apprend le sujet de sa douleur profonde, ne peut lui offrir aucune consolation; mais il cherche du moins

Pendant ma maladie, l'épidémie avait continué ses ravages, décimant les Européens de Grand-Bassam.

Notre principal objet était de juger si cette demi-brigade, dans laquelle l'épidémie, il est vrai, n'a fait que trop de victimes, se trouvait, ainsi qu'on le suppose, non seulement infectée au point qu'il ne fût permis de la mettre en ligne qu'en courant des dangers pour elle-même, mais en outre si elle était susceptible de communiquer aux autres corps la contagion.

Le traitement ordonné par le malade lui-même avait consisté dans l'usage abondant des sudorifiques, des acides végétaux, et du quinquina. Les deux pharmaciens dont il est parlé dans la lettre du 3 sont morts. Quatre blessés, attaqués de l'épidémie, viennent d'être évacués sur l'hôpital des fiévreux.

L'empereur voyait la déception et la ressentait d'une manière cruelle. Mais tout se réunissait pour nous accabler. L'épidémie s'était mise parmi nos troupes. Les fatigues, les besoins, et, plus que tout cela, l'impression morale de nos désastres, avaient semé les maladies dans nos cantonnements. Les hôpitaux étaient encombrés, et nos soldats, habituellement si fiers devant l'ennemi, étaient sans force contre les dégoûts et les privations. Ils succombaient

Les lazarets, particulièrement celui de Boulak, reçurent des malades venant de Gizeh, du vieux et du grand Kaire, l'épidémie se développa graduellement. Nous perdîmes en pluviôse soixante-douze hommes, ci....... 72 morts. Au quartier-général du Kaire, le 1er ventôse an IX. «G

Ce fut vers la fin de frimaire que l'épidémie commença

Le fermier hochait la tête, ce qui signifiait que le dernier mot n'était pas prononcé et que l'épidémie continuait ses ravages. De Martinod on ne savait rien, il se tenait caché. Notre ami l'abbé Heurtevent avait résisté, mais il demeurait ébranlé: il gardait assez de vie pour annoncer des catastrophes.

L'épidémie a cessé; la mortalité est au-dessous de ce que l'on pouvait désirer de plus avantageux d'après les données ordinaires; nous n'avons plus aujourd'hui, 25, que cent vingt-huit malades dans nos lazarets, et ils sont presque tous convalescents. En conséquence dès qu'il se présentera une occasion favorable je m'empresserai de me rendre près de vous. Salut et respect

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