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Mis à jour: 1 juin 2025
Alors, ce brave Wurtembergeois, M. Franz Koenig, a pu la prendre pour un de ses produits. M. le secretaire general fut sincerement content de cette plaisanterie et se laissa aller a un rire debonnaire, apres avoir fait craquer toutes les articulations de ses dix doigts. Jean-Pierre ne riait pas. Et ses yeux? demanda M. Berthellemot.
Le comte Wenzel faisait partie d'un trio de jeunes Allemands, anciens etudiants de l'Universite de Tubingen. Il y avait Wenzel, Hamberg et Koenig: trois amis, jeunes, riches, heureux. Mais Rene ne causait plus chez les parents d'Angele. Il venait la chaque jour comme ou accomplit un devoir. Il souffrait, voyait souffrir les autres et se retirait desespere.
A l'entree de la comtesse, il se dressa sur ses quatre pattes et allongea le cou comme font les chiens pour hurler. La paix, Pluto! fit Yanusza en son latin barbare. Pluto savait le latin, car il se rasa, puis s'allongea et rampa jusqu'a la nouvelle venue, en balayant les dalles du poil de son ventre. Franz Koenig est-il arrive? demanda la comtesse. Il est arrive, repondit Yanusza.
Cet article était ainsi conçu: La peine de mort est abolie en matière politique. Les représentants Coquerel, Koenig et Buvignier proposaient par amendement de rédiger ainsi cet article 5: La peine de mort est abolie. 15 septembre 1848.
Accusez-vous cette comtesse? demanda Berthellemot. Que Dieu assiste ceux que j'accuserai, repliqua Jean-Pierre. Voici donc deux de nos Allemands ecartes; restait le marchand d'albatre, le millionnaire Franz Koenig, heritier des carrieres de Wuertz.
Je comptais assurement vous l'offrir, l'interrompit la comtesse, dont les grands yeux avaient, en verite, a cette heure, une expression de religieuse tristesse. Wenzel, Ramberg et Koenig etaient les plus chers de mes amis; c'est trop peu dire: ils etaient mes freres, et je ne cache pas que mon ardeur a continuer l'oeuvre commune est doublee par l'espoir de les venger.
Qu'il y eut ou non exageration, les gens disaient aujourd'hui que la plupart des paroisses de Paris avaient marie la comtesse Marcian Gregoryi. On citait surtout ses trois dernieres victimes, les trois jeunes Allemands du Wurtemberg: le comte Wenzel, le baron de Ramberg et Franz Koenig, l'opulent heritier des mines d'albatre de la foret Noire.
Le grand Frédéric Schoultz, maigre, décharné, après avoir bien balancé sa boule, venait de la lancer; elle roulait comme un lièvre qui déboule dans les broussailles, et Schoultz, les bras en l'air, s'écriait: «Der Koenig! der Koenig! » lorsque Fritz, arrêté derrière lui, partit d'un éclat de rire, en disant: «Ah! le beau coup! approche, que je te mette une couronne sur la tête.»
Briefwechsel der Koenigin Katharina und des Koenigs Jérôme von Westphalien so wie des Kaisers Napoléon I mit dem Koenig Friedrich von Würtemberg: Herausgegeben von Doctor August von Schlossberger. Stuttgart, 2 vol, in-8°.
L'exemple de mademoiselle de Taisy doit être suivi; désormais tout solo, court ou non, sera chanté, il faut l'espérer, par un artiste. Koenig s'acquitte bien aussi de son petit rôle du confident
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