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Mis à jour: 6 juin 2025


Que signifie cette réunion, et que désirez-vous, seigneurs? demanda le kochévoï. Les cris et les imprécations l'empêchèrent de continuer. Dépose ta massue, fils du diable; dépose ta massue, nous ne voulons plus de toi, s'écrièrent des voix nombreuses.

Que les anciens donnent d'abord leur conseil! criait-on dans la foule. Que le kochévoï donne son conseil! disaient les autres.

Le kochévoï a bien parlé! s'écria-t-on dans les rangs des Zaporogues. C'est une bonne parole, disaient les autres. Et même les plus vieux, qui se tenaient l

Qu'est-ce qui vous amènedemanda enfin le kochévoï, quand le bac toucha la rive. Tous les ouvriers suspendirent leurs travaux, cessèrent le bruit, et regardèrent dans une silencieuse attente, en soulevant leurs haches ou leurs rabots. Un malheur, répondit le petit Cosaque de l'avant. Quel malheur? Me permettez-vous de parler, seigneurs Zaporogues? Parle.

Il n'y a pas se promener, répondit le kochévoï en ôtant de sa bouche une petite pipe, et en crachant de côté. Comment, il n'y a pas ? On peut aller du côté des Turcs, ou du côté des Tatars. On ne peut ni du côté des Turcs, ni du côté des Tatars, répondit le kochévoï en remettant, d'un grand sang-froid, sa pipe entre ses dents. Mais pourquoi ne peut-on pas?

Ostap avait raison, car, dans le moment même, une décharge générale retentit du haut des remparts. Le kochévoï s'approcha pour féliciter Ostap. C'est encore un jeune ataman, dit-il, mais il conduit ses troupes comme un vieux chef.

Et le kochévoï, ôtant son bonnet, non plus comme chef des Cosaques, mais comme leur camarade, les remercia de l'honneur qu'ils lui faisaient et leur dit: Il y en a beaucoup parmi nous qui sont plus anciens que moi et plus sages dans les conseils; mais puisque vous m'avez choisi pour parler le premier, voici mon opinion: Camarades, sans perdre de temps, mettons-nous

Non, ton conseil ne vaut rien, kochévoï, dit-il; tu ne parles pas comme il faut, Il paraît que tu as oublié que ceux des nôtres qu'ont pris les Polonais demeurent prisonniers. Tu veux donc que nous ne respections pas la première des saintes lois de la fraternité, que nous abandonnions nos compagnons, pour qu'on les écorche vivants, ou bien pour que, après avoir écartelé leurs corps de Cosaques, on en promène les morceaux par les villes et les campagnes, comme ils ont déj

Le kochévoï avait eu un moment l'intention de parler; mais, sachant bien que cette foule furieuse et sans frein, pouvait aisément le battre jusqu'

Quand ils se furent tous divisés et rangés sur deux files, par kourèn, le kochévoï passa entre les rangs, et dit: Eh bien! seigneurs frères, chaque moitié est-elle contente de l'autre? Tous sont contents, père, répondirent les Cosaques.

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