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Mis à jour: 10 juin 2025
Après le départ de Katel, Fritz entra dans la cuisine allumer une chandelle, car il voulait passer l'inspection de sa cave, et choisir quelques vieilles bouteilles de vin, pour célébrer la fête du printemps.
À cette heure, Katel, j'espère que tu vas te dépasser, que tu nous feras un dîner... mais un dîner.... Soyez donc tranquille, monsieur, répondit la vieille cuisinière, qui n'aimait pas les recommandations, est-ce que vous avez jamais été mécontent de moi depuis vingt ans? Non, Katel, non, au contraire; mais tu sais, on peut faire bien, très bien, et tout
C'est ainsi que raisonna Fritz Kobus en ce jour. Et le lendemain, voyant qu'il avait bien raisonné la veille, il se dit encore: «Tu te lèveras le matin, entre sept et huit heures, et la vieille Katel t'apportera ton déjeuner, que tu choisiras toi-même, selon ton goût. Ensuite tu pourras aller, soit au Casino lire le journal, soit faire un tour aux champs, pour te mettre en appétit. À midi, tu reviendras dîner; après le dîner, tu vérifieras tes comptes, tu recevras tes rentes, tu feras tes marchés. Le soir, après souper, tu iras
J'aurais tort de ne pas trouver ces beignets délicieux; mais au-dessus des meilleures choses, il y a ce que le professeur Speck appelle "l'idéal"; cela veut dire quelque chose de poétique, de.... Oui, monsieur, je comprends, fit Katel: par exemple, comme les saucisses de la mère Hâfen, que personne ne pouvait réussir aussi bien qu'elle,
Comment, Katel, est-ce que je ne t'avais pas prévenue, en venant chercher les ouvriers, que je serais absent quelques jours? Oui, monsieur, mais c'est égal... d'être seule
Le vieux jardinier Bosser passait justement dans l'avancée, la houe sur l'épaule. «Hé! père Bosser!» lui cria-t-il. L'autre leva le nez. «Faites-moi donc le plaisir, puisque vous entrez en ville, de prévenir Katel que je vais
Oui, mon vieux; mais n'oublie pas midi.» Le bohémien et ses deux camarades descendirent l'escalier, et Fritz, regardant sa vieille servante, lui dit avec un sourire de satisfaction: «Eh bien, Katel, voici le printemps.... Nous allons faire une petite noce.... Mais attends un peu: commençons par inviter les amis.» Et se penchant
Il prit donc un beignet, et le goûta d'abord sans rien dire; puis un autre, puis un troisième; enfin, se retournant, il prononça ces paroles avec poids et mesure: «Les beignets sont excellents, Katel, excellents! Il est facile de reconnaître que tu as suivi la recette aussi bien que possible.
Mais, au nom du Ciel, dit Katel, ne me parlez donc pas toujours de vos Prussiens! de pauvres diables qui n'ont pas dix thalers en poche, et qui se mettent tout sur le dos, pour avoir l'air de quelque chose. Nous sommes d'autres gens! nous savons où reposer notre tête le soir, et ce n'est pas sur un caillou, Dieu merci! Et nous savons aussi où trouver une bouteille de bon vin, quand il nous plaît d'en boire une. Nous sommes des gens connus, établis; quand on parle de M. Kobus, on sait que sa ferme est
«Comment, c'est vous, mère Orchel? s'écria-t-il; qu'est-ce qui vous amène de si grand matin?» Katel s'avançait en même temps sur le seuil de la cuisine, et disait: «Eh! bonjour, Orchel, Seigneur, que vous avez marché vite! vous êtes tout en nage. C'est vrai, Katel, répondit la bonne femme en reprenant haleine, je me suis dépêchée.»
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