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Mis à jour: 10 juin 2025
Les modes peuvent changer tant qu'on voudra, répondit Katel en approchant l'échelle de l'armoire, le bon sens ne change jamais. Nous allons d'abord vous chercher une chemise. C'est dommage qu'on ne porte plus de culotte, car vous avez la jambe bien faite, comme monsieur votre père; et la perruque vous aurait aussi bien convenu, une belle perruque poudrée
Katel vint servir le déjeuner; il mangea d'assez bon appétit, et, aussitôt après, se coiffant de son large feutre, il sortit faire un tour sur la place, où se promenaient d'habitude le gros Hâan et le grand Schoultz, entre neuf et dix heures. Mais ils ne s'y trouvaient pas, et Fritz en fut contrarié, car il avait résolu de les emmener avec lui, le lendemain,
Puis élevant la voix: «Katel! Katel!» s'écria-t-il. La vieille servante parut sur le seuil, et, le voyant bâiller, les yeux rouges et la tignasse ébouriffée: «Hé! hé! hé! fit-elle; vous avez mal aux cheveux, monsieur Kobus? Oui, c'est cette bière qui en est cause; si l'on m'y rattrape!... Ah! vous dites toujours la même chose, fit la vieille en riant.
C'est bien», fit la grosse fermière en ouvrant la porte; elle sortit, et Katel, après avoir ôté les souliers de Fritz, courut dans la cuisine faire chauffer de l'eau; car, pour tous les remèdes, il est bon d'avoir de l'eau chaude. Tandis qu'elle se livrait
«Eh bien, Katel, s'écria Schoultz, regardant dans la cuisine entrouverte. Eh bien! est-il prêt? Entrez, messieurs, entrez», dit la vieille servante en souriant.
Orchel et Katel le suivaient. Il regarda d'abord Fritz, puis il prit le pouls, les yeux fixés au pied du lit, comme un vieux chien de chasse en arrêt devant une caille, et au bout d'une minute il dit: «Ce n'est rien, le coeur galope, mais le pouls est égal... ce n'est pas dangereux.... Il lui faut une potion calmante, voil
Hâan! une enfant... une véritable enfant! Allons, Sûzel, viens prendre le café avec nous; Katel, apporte une tasse pour la petite. Oh! monsieur Kobus, je n'oserai jamais! Bah! bah! Katel, dépêche-toi.» Lorsque la vieille servante revint avec une tasse, Sûzel, rouge jusqu'aux oreilles, était assise, toute droite sur le bord de sa chaise, entre Kobus et le vieux rebbe.
Katel était alors sur l'échelle, et choisissait une chemise avec soin. Fritz, en bas, attendait en silence. Elle redescendit enfin, portant une chemise et un mouchoir sur ses mains étendues d'un air de vénération; et les déposant sur la table, elle dit: «Voici d'abord le principal; nous verrons si vos Prussiens ont des chemises et des mouchoirs pareils. Ceci, monsieur Kobus, étaient les chemises et les mouchoirs de grande cérémonie de M. le juge de paix. Regardez-moi la finesse de cette toile, et la magnificence de ce jabot
Sûzel avait repris son panier et s'en allait avec Katel, disant: «Bonjour, monsieur Kobus!» d'une voix si douce, qu'il ne sut que répondre, et resta plus d'une minute comme enraciné au milieu de la salle, regardant vers la porte, tout effaré; puis il se prit
Ah! maintenant, je m'en vais; c'est aussi trop fort!» Katel sortit, et Kobus, retenant le vieux rebbe par la manche, ajouta: «Voyons donc, que diable! assieds-toi. J'éprouve un véritable chagrin. Quel chagrin? De ce que tu ne puisses pas vider un verre de vin avec moi et goûter ces beignets: quelque chose d'extraordinaire!» David s'assit en riant
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