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Mis à jour: 15 juin 2025
Il avait constaté son peu d'aptitude au roman-feuilleton. Un genre, pourtant productif et susceptible d'agir sur les grandes masses de lecteurs. Les Mystères de Marseille furent son unique tentative en ce genre. Il ne se sentait pas davantage la force de donner, chaque jour, un article d'actualité, soit politique, soit littéraire. Il cessa donc pareillement de faire du journalisme courant, car, bien qu'il ait beaucoup écrit dans divers journaux, et qu'il ait collaboré
Votre prédécesseur, dit-il, ne gâtait pas les écrivains, quand il s'en trouvait. Il leur faisait amèrement déplorer de n'avoir pas été mis en apprentissage chez quelque diligent savetier, dès leur tendre enfance. On dit que vous avez le dessein de relever la muraille de la Chine et d'endiguer l'horrible muflerie qui menace le céleste Empire du Journalisme. S'il en est ainsi, je suis tout
On n'aime pas toujours la carrière qu'on embrasse. J'entends dire bien souvent qu'il n'y a plus d'enfants. Ce n'est toujours pas faute d'en faire. Dans le journalisme actuel, il faut être timbré pour aborder les questions dites sérieuses. Un condamné
«J'ai d'abord posé un clou, et d'un coup de marteau, je l'ai fait entrer d'un centimètre dans la cervelle du public, puis d'un second coup, je l'ai fait entrer de deux centimètres... Eh bien mon marteau, c'est le journalisme, que je fais moi-même autour de mes œuvres.»
Il ne lui manque que d'être quotidienne pour devenir dès cette époque quelque chose d'analogue au journalisme moderne, un pouvoir réel en dehors des pouvoirs officiels, une sorte d'institution libre qui complète toutes les autres et qui les contrôle, qui au besoin les modifie ou les renverse, les défait et les refait.
Le journalisme, les polémiques ardentes qu'il avait soutenues
La carrière du journalisme étant fermée
Je parie que tu ferais un fameux écrivain, en passant par le journalisme. Et nous travaillerions ensemble... Ce serait charmant. Alors, si je te proposais la chose? J'accepterais les yeux fermés.
Dr. Comment ils voient. Ce qui suit est extrait d'un article, «Les Allemands en Belgique», publié dans le Düsseldorfer General-Anzeiger du 20 septembre 1915 par un M. Rudolph Bartsch qui doit être, dans le journalisme allemand, un personnage de qualité.
Dans le journalisme ou l'enseignement, je vaux trente francs, pas un sou de plus. Ma mère avait raison de dire que j'étais un maladroit. Je fais mal mon métier. Je confonds les articles, je mêle les feuillets. Je lis trop vite quelquefois trop lentement. Le correcteur est un homme laid, chagrin, un vieux fruit sec, qui me traite comme un mauvais apprenti.
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