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Mis à jour: 24 juin 2025
Que me voulez-vous? demanda celui-ci. Rien. Pourquoi donc me prendre le bras? C'est mon idée. Et s'il ne me plaisait pas de le souffrir? J'en serais désolé, mais il faudrait cependant bien que vous vous y soumissiez. Savez-vous bien, monsieur Belle-Rose, que si j'appelais, nous ne sommes pas si loin encore du carrosse qu'on ne pût m'entendre.
Chemins d'anémie, misères du passé, je vous vois mesquins du haut de la loi que j'ébauchai, ridicules avec les yeux du vulgaire. «Ce que j'appelais mes pensées sont en moi de petits cailloux, ternes et secs, qui bruissent et m'étouffent et me blessent. Je voudrais pleurer, être bercé; je voudrais désirer pleurer.
Mais parce que je le veux! C'est tout au plus un prétexte, et je demande une raison. Insolent! s'écria l'inconnue debout cette fois, sais-tu bien que si j'appelais, il y a près d'ici des bras disposés
Dans une grande salle, avec d'autres enfants de mon âge. Puis, un soir, comme j'appelais toujours ma mère, je me suis dit que, puisqu'on ne voulait pas me la rendre, ce serait moi qui irais la retrouver. Je me suis enfui. Bravo!
Une grande jouissance avait lieu pour moi lorsque, après avoir respiré pendant plusieurs mois un air glacé ou l'air des poêles, je voyais arriver l'été. La promenade alors me semblait une chose délicieuse, et je me pressais de parcourir les beaux environs de Pétersbourg. J'allais très souvent au lac de Pergola , seule avec mon bon domestique russe, prendre ce que j'appelais un bain d'air. Je me plaisais
Mais, pour ne point finir sur ces mots trop maussades, pour vous faire sentir au bout d'un siècle et demi quel accent nouveau apportait la Julie, je veux vous lire un de ces morceaux que j'appelais «lyriques», une page qui semble un thème tout prêt pour les vers de quelque poète de 1830, qui d'ailleurs n'auraient pas valu cette prose. (C'est, dans la sixième partie, une lettre de Saint-Preux
Il me demanda alors quels étaient les causes et les motifs les plus ordinaires de nos querelles et de ce que j'appelais la guerre. Je répondis que ces causes étaient innombrables et que je lui en dirais seulement les principales. «Souvent, lui dis-je, c'est l'ambition de certains princes qui ne croient jamais posséder assez de terre ni gouverner assez de peuples. Quelquefois, c'est la politique des ministres, qui veulent donner de l'occupation aux sujets mécontents. Ç'a été quelquefois le partage des esprits dans le choix des opinions. L'un croit que siffler est une bonne action, l'autre que c'est un crime; l'un dit qu'il faut porter des habits blancs, l'autre qu'il faut s'habiller de noir, de rouge, de gris; l'un dit qu'il faut porter un petit chapeau retroussé, l'autre dit qu'il en faut porter un grand dont les bords tombent sur les oreilles, etc.» J'imaginai exprès ces exemples chimériques, ne voulant pas lui expliquer les causes véritables de nos dissensions par rapport
Je pénétrai dans le salon, un joli salon tapissé de nattes, et qui regardait la mer par trois larges fenêtres. Sur la cheminée, des potiches de Chine et une grande photographie de femme. J'allai vers elle aussitôt, persuadé que je la reconnaîtrais aussi. Et je la reconnus, bien que je fusse certain de ne l'avoir jamais rencontrée. C'était elle, elle-même, celle que j'attendais, que je désirais, que j'appelais, dont le visage hantait mes rêves. Elle, celle qu'on cherche toujours, partout, celle qu'on va voir dans la rue tout
Je m'écoutais, je me sentais surtout, et l'odeur de l'oignon me soulevait le coeur, ce que j'appelais mon coeur, comprenons-nous bien; car je ne sais pas si les pauvres ont le droit d'avoir un coeur. «Il faut se forcer, criait ma mère. Tu le fais exprès, ajoutait-elle comme toujours.» C'était le grand mot. «Tu le fais exprès!»
On remarquera que nous employions indistinctement le tu ou le vous. Lorsque Maurice se trouvait dans ce que j'appelais la période méditative, alors, involontairement et comme
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