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Mis à jour: 9 mai 2025
À l'occasion de maladies peu graves, il était toujours pris de fièvres violentes. C'était un enfant calme, rêveur, doué d'une imagination très vive, mais de faibles moyens intellectuels. Il ne rechercha jamais les jeux des garçons. Il s'amusait, de préférence, aux occupations féminines. Il avait un plaisir particulier
I, ch. L'utilité de l'instruction était néanmoins un argument que ne pouvaient négliger les femmes qui dès lors défendaient les droits intellectuels de leur sexe et qui comptaient dans leurs rangs la jeune et belle dauphine de France, Marie Stuart, prononçant en plein Louvre, devant la cour assemblée, cette harangue latine dont j'ai parlé plus haut, et qu'elle avait composée elle-même; «soubtenant et deffendant, contre l'opinion commune, dit Brantôme, qu'il estoit bien séant aux femmes de sçavoir les lettres et arts libéraux .» Nous ne savons
Chaque fois que je voyais cet honnête et ferme Breton, devenu un pieux ecclésiastique et un ardent instructeur du peuple, et si absolument enfermé dans son état et dans son oeuvre, ma pensée se reportait tristement vers son frère, ce grand esprit égaré dans ses passions, tombé parmi les malfaiteurs intellectuels de son temps, lui qui semblait né pour être l'un de ses guides les plus sévères. Je n'ai point connu, je n'ai jamais vu l'abbé Félicité de la Mennais; je ne le connais que par ses écrits, par ce qu'ont dit de lui ses amis, et par cette image bilieuse, haineuse, malheureuse, qu'a tracée de lui Ary Scheffer, le peintre des âmes. J'admire autant que personne cet esprit élevé et hardi qui avait besoin de s'élancer jusqu'au dernier terme de son idée, quelle qu'elle fût, ce talent grave et passionné, brillant et pur, amer et mélancolique, âpre avec élégance et quelquefois tendre avec tristesse. J'ai la confiance qu'il y avait dans cette âme, où l'orgueil blessé
Je me suis étendu longuement sur l'honneur chevaleresque; mais je l'ai fait dans une bonne intention et parce que la philosophie est l'Hercule qui seul peut combattre les monstres moraux et intellectuels sur terre. Deux choses principalement distinguent l'état de la société moderne de celui de la société antique, et cela au détriment de la première,
Animé du désir de faire pénétrer la vérité et la civilisation parmi ses coreligionnaires, il ne s'attaque pas seulement aux fanatiques, mais il ne craint pas de dire leur fait aux modernes du ghetto, aux intellectuels diplômés, qui ne cherchent que leur profit et n'entreprennent rien pour le bien du peuple.
Mais Pierre, surtout, souffrait des extraordinaires conversations qu'il entendait. Les croyants qui étaient dans la salle, parlaient des miracles avec une aisance, une tranquillité inouïes. Les faits stupéfiants les laissaient pleins de sérénité. Encore un miracle, encore un miracle! et ils racontaient des imaginations de démence avec un sourire, sans la moindre protestation de leur raison. Ils vivaient évidemment dans un tel milieu de fièvre visionnaire, que rien ne les étonnait plus. Et ce n'étaient pas seulement des simples, des enfantins, des illettrés, des hallucinés, tels que Raboin; mais des intellectuels se trouvaient l
L'âme humaine, que le christianisme avait détachée, dans les monastères surtout, des intérêts terrestres, s'était absorbée dans l'intérêt de son salut éternel. Des cieux, des enfers, des purgatoires sans cesse décrits, peuplés, vidés par les moines prédicateurs dans les chaires du peuple, étaient devenus, par la puissance de la foi, par l'habitude des pratiques, par la répétition des cérémonies, des réalités de la pensée aussi visibles et aussi palpables dans l'esprit des fidèles que les réalités physiques. L'imagination habitait pour ainsi dire ces mondes intellectuels des morts autant et plus que le monde des vivants. Les temples étaient remplis de leurs symboles; les murailles même des rues étaient couvertes des représentations par le pinceau de ces trois séjours de l'âme, enfer, purgatoire, paradis. Dans les fêtes sacrées, ou même profanes, on donnait aux peuples de l'Italie, au lieu de courses olympiques ou de combats du cirque, des drames de théologie chrétienne. L
66. Ils étaient bien autrement grands, agiles et robustes, que les pâles avortons de vos cités mesquines, parce que les soins ni les soucis n'avaient jamais flétri leurs pensées. Les arbres verts, tel était leur patrimoine. L'affaiblissement des organes intellectuels ne leur disait pas qu'ils devinssent vieux, la mode ne les réduisait pas
M. CORNESSE, ministre de la justice. Je laisse de côté cette question. Je m'en tiens au fait qui a motivé l'interpellation. Non, ce ne sont pas des hommes politiques, ces pillards, ces assassins, ces incendiaires dont les crimes épouvantent l'Europe. Je ne parle pas seulement des instruments, des auteurs matériels de ces forfaits. Il est de plus grands coupables, ce sont ceux qui encouragent, qui tolèrent, qui ordonnent ces faits; ce sont ces malfaiteurs intellectuels qui propagent dans les esprits des théories funestes et excitent
Nous aimerions mieux rêver, imaginer et croire que l'homme fut plus doué et plus accompli dans sa jeunesse que dans sa caducité; nous aimerions mieux rêver, imaginer et croire que l'homme, encore tout chaud sorti de la main de Dieu d'où il venait de tomber, encore tout imprégné des rayons de son aurore, instruit par la révélation de ses instincts intellectuels, pourvu d'une science innée plus nécessaire et plus vaste, d'un langage plus expressif du vrai sens des choses, vivait dans la plénitude de vie, de beauté, de vertu, de bonheur, Apollon de la nature devant lequel toute autre créature s'inclinait d'admiration et d'amour.
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