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Mis à jour: 3 juin 2025
Aussitôt, la grande affaire de Jules fut de cacher les larmes dont les tournures polies qu'Hélène prenait pour lui adresser la parole inondaient son visage. Quand elle eut fini de parler et de justifier un changement si naturel, disait-elle, après la mort d'un frère, Jules lui dit en parlant fort lentement: Vous n'accomplissez pas votre serment, vous ne me recevez pas dans un jardin, vous n'êtes point
Elle fut donc véritablement confondue, lorsque, deux jours plus tard, elle se trouva témoin d'une discussion presque vive entre son père et la comtesse Sarah, précisément au sujet de ces fameuses affiches qui inondaient alors Paris et la France...
La matinée était magnifique, l'air était frais et embaumé, les portes et les fenêtres de la maison de Madame St.-Aubin étaient ouvertes et les torrents de lumière joints aux chants des oiseaux qui jouaient dans les buissons voisins, inondaient cette demeure, lorsqu'il s'y présenta.
«Cependant plus de trois cent mille hommes et femmes de Paris et des environs, rassemblés dès les six heures du matin au Champ-de-Mars, assis sur des gradins de gazon qui formaient un cirque immense, mouillés, crottés, s'armant de parasols contre les torrens d'eau qui les inondaient, s'essuyant le visage, au moindre rayon du soleil, rajustant leurs coiffures, attendaient en riant et en causant les fédérés et l'assemblée nationale. On avait élevé un vaste amphithéâtre pour le roi, la famille royale, les ambassadeurs et les députés. Les fédérés les premiers arrivés commencent
Le directoire résolut de répliquer par un message énergique aux nouvelles questions qui lui étaient adressées, sans accorder cependant les explications qu'il ne lui convenait pas de donner. Larévellière en fut le rédacteur; Carnot et Barthélemy refusèrent de le signer. Ce message fut présenté le 23 thermidor (10 août). Il ne contenait rien de nouveau sur le mouvement des troupes. Les divisionnaires qui avaient marché sur Paris, disait le directoire, avaient reçu les ordres du général Hoche, et le général Hoche ceux du directoire. L'intermédiaire qui les avait transmis n'était pas désigné. Quant aux adresses, le directoire disait que le sens du mot délibérer était trop vague pour qu'on pût déterminer si les armées s'étaient mises en faute en les présentant; qu'il reconnaissait le danger de faire exprimer un avis aux armées, et qu'il allait arrêter les nouvelles publications de cette nature; mais que, du reste, avant d'incriminer la démarche que s'étaient permise les soldats de la république, il fallait remonter aux causes qui l'avaient provoquée; que cette cause était dans l'inquiétude générale, qui depuis quelques mois s'était emparée de tous les esprits; dans l'insuffisance des revenus publics, qui laissait toutes les parties de l'administration dans la situation la plus déplorable, et privait souvent de leur solde des hommes qui depuis des années avaient versé leur sang et ruiné leurs forces pour servir la république; dans les persécutions et les assassinats exercés sur les acquéreurs de biens nationaux, sur les fonctionnaires publics, sur les défenseurs de la patrie; dans l'impunité du crime et la partialité de certains tribunaux; dans l'insolence des émigrés et des prêtres réfractaires, qui, rappelés et favorisés ouvertement, débordaient de toutes parts, soufflaient le feu de la discorde, inspiraient le mépris des lois; dans cette foule de journaux qui inondaient les armées et l'intérieur, et n'y prêchaient que la royauté et le renversement de la république; dans l'intérêt toujours mal dissimulé et souvent manifesté hautement pour la gloire de l'Autriche et de l'Angleterre; dans les efforts qu'on faisait pour atténuer la juste renommée de nos guerriers; dans les calomnies répandues contre deux illustres généraux, qui avaient, l'un dans l'Ouest, l'autre en Italie, joint
Les vizirs, les pachas, les généraux, tous les fonctionnaires, toutes les autorités, en grand costume tous, et chamarrés de dorures, étaient parqués sur la grande place de Top-Kapou, où étaient réunies les musiques de la cour. Le ciel était noir et tourmenté; pluie et grêle tombaient abondamment et inondaient tout ce monde.
Elle tomba, dans le choc, le front sur le parquet du salon, et resta la tête couchée, pleurant et sanglotant. Il eut comme un éclair de remords, comme une lueur de sensibilité, en voyant la prostration de cette belle et chaste créature, sa fille, enfin! Mais l'orgueil reprit vite le dessus. Relevez-vous, dit-il. Fernande obéit, essuyant les larmes qui inondaient son beau visage.
L'enfant, toujours étendu sur le sol, ne répondit pas. «Gaston!» s'écria la petite fille avec crainte. Elle s'agenouilla, sentit la tête inerte de son petit ami, la souleva et l'appuya contre la sienne, tandis que des larmes inondaient son visage. «Vous mentez!» répéta soudain l'enfant d'une voix faible. Puis il dit, comme effrayé: «Où suis-je donc?
A chaque pas, les chevaux menaçaient de s'abattre. Deux fois celui de Boishardy glissa et roula avec son maître, qui se releva couvert de sang. Certes, ces trois hommes étaient braves, si braves même qu'on pouvait les taxer de témérité folle. Eh bien! des gouttes de sueur froide inondaient leurs visages. Comme le matin, sur la Loire, ils se regardaient sans oser échanger une parole, et bientôt même ils cessèrent de se regarder, dans la crainte d'échanger leur pensée. Peut-être parmi ces cadavres qu'ils foulaient se trouvait-il des amis chers
Je ne pouvais répondre, des larmes de reconnaissance et d'amour inondaient mes yeux, et je me précipitai dans les bras de Marguerite.
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