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Mis à jour: 28 juin 2025
«Et vos incendiaires, mon père, sont-ils déj
Vingt-unième bulletin de la grande armée. Trois cents chauffeurs ont été arrêtés et fusillés. Ils étaient armés d'une fusée de six pouces, contenue entre deux morceaux de bois; ils avaient aussi des artifices qu'ils jetaient sur les toits. Ce misérable Rostopchin avait fait confectionner ces artifices en faisant croire aux habitans qu'il voulait faire un ballon qu'il lancerait, plein de matières incendiaires, sur l'armée française. Il réunissait, sous ce prétexte, les artifices et autres objets nécessaires
Ses enfants, je vous conseille d'en parler! Savez-vous ce que fait son fils, notre protégé aussi, celui pour qui nous avons obtenu une place honorable: il s'est improvisé orateur de club; il tient chaque soir des discours incendiaires, et il serait mis
Je demande l'amnistie. Je la demande dans un but de réconciliation. Ici les objections se dressent devant moi; ces objections sont presque des accusations. On me dit: Votre amnistie est immorale et inhumaine! vous sapez l'ordre social! vous vous faites l'apologiste des incendiaires et des assassins! vous plaidez pour des attentats! vous venez au secours des malfaiteurs! Je m'arrête.
Cambronne, le plus souvent, marchait seul en avant de ses grenadiers, pour éclairer leur route et leur faire préparer d'avance des logemens et des subsistances. À peine avait-il prononcé le nom de l'Empereur, qu'on s'empressait de lui témoigner la plus vive et la plus tendre sollicitude. Un seul maire, celui de Sisteron, M. le marquis de *, voulut essayer de soulever les habitans de cette commune, en leur dépeignant les soldats de Napoléon comme des brigands et des incendiaires. Confondu par l'apparition subite du général Cambronne, seul, et sans autre arme que son épée, il changea de langage, et parut n'avoir éprouvé que la crainte de n'être point payé . Cambronne lui jeta froidement sa bourse, en lui disant: «Payez-vous!» Les habitans, indignés, s'empressèrent
Maintenant encore, Québec est le seul vrai rempart qui défende efficacement le pays. Viennent de nouvelles luttes, et l'on verra ses nombreux canons allonger de nouveau leur cou de bronze par-dessus les murs, et tenir en échec un ennemi vainqueur, peut-être, sur tous les autres points de la contrée. Sera-ce alors que, selon les prédictions, un immense ouragan de feu dévorera notre ville? Est-ce criblée par les boulets, calcinée par les obus incendiaires, qu'elle doit s'envelopper et se coucher dans un glorieux suaire de cendres fumantes? Si c'est la suprême destinée qui t'attend, ô Québec, ta fin sera digne de ton passé; et tes pierres noircies diront un jour
Mais en vain dévouait-il ces innocentes victimes aux tortures que les lois sanguinaires des Romains infligeaient aux incendiaires; chacun le connaissait comme le véritable criminel, le monstre impérial, qui, comme le rapporte Suétone, "vêtu de ses habits de théâtre, était monté sur la tour du palais de Mécène pour jouir du spectacle de l'incendie, tandis qu'il chantait l'embrasement de Troie en s'accompagnant de la lyre;" qui ensuite prêta ses propres jardins aux citoyens de Rome, afin qu'ils pussent contempler plus commodément les souffrances dues
Aussitôt l'ordre fut donné de fusiller sur place tous les incendiaires. L'armée était sur pied. La vieille garde, qui tout entière occupait une partie du Kremlin, avait pris les armes; les bagages, les chevaux tout chargés, remplissaient les cours; nous étions mornes d'étonnement, de fatigue, et du désespoir de voir périr un si riche cantonnement. Maîtres de Moskou, il fallait donc aller bivouaquer sans vivres
Autour des noirs sapins, le soleil d'octobre illumina les bois d'or et de cuivre. Les chevaux foulaient, alertes, une terre battue par les pluies récentes, ensuite séchée, une terre bonne au sabot. Sous le chaume des villages, les balcons de bois contenaient des femmes. Les méfaits des Impériaux indignaient de vieilles paysannes se désolant sur la place de leurs meules brûlées. Elles souhaitèrent le triomphe de La France, qui châtierait les incendiaires. Sous les pieds des bêtes, les lièvres sautèrent du sillon, fuirent entre les colonnes, qui les saluèrent de cris et de jurons. Des compagnies de perdreaux jaillirent aussi de la terre, s'éployèrent
On a vu de quelle manière il traita Jacques Roux, qui avait proposé une pétition contre l'acte constitutionnel; il en faisait de même dans toutes les circonstances où il s'agissait de la convention. Cette assemblée était épurée, disait-il; elle ne méritait que des respects; quiconque l'accusait était un mauvais citoyen. Le comité de salut public n'avait sans doute pas fait tout ce qu'il devait faire (car tout en les défendant, Robespierre ne manquait pas de censurer ceux qu'il défendait); mais ce comité était dans une meilleure voie; l'attaquer, c'était détruire le centre nécessaire de toutes les autorités, affaiblir l'énergie du gouvernement, et compromettre la république. Quand on voulait fatiguer le comité ou la convention de pétitions trop répétées, il s'y opposait en disant qu'on usait l'influence des jacobins, et qu'on faisait perdre le temps aux dépositaires du pouvoir. Un jour, on voulait que les séances du comité fussent publiques; il s'emporta contre cette proposition; il dit qu'il y avait des ennemis cachés, qui, sous le masque du patriotisme, faisaient les propositions les plus incendiaires, et il commença
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