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Mis à jour: 19 juin 2025


Et qu'est-ce qu'il vous a dit, le greffier? Que mon mari était dans son droit d'emmener sa fille, n'étant pas séparé d'avec moi; que ce serait un malheur si ma fille tournait mal par de mauvais conseils, mais que ce n'étaient que des suppositions et que ça ne suffisait pas pour porter plainte contre mon mari. « Vous n'avez qu'un moyen, m'a dit le greffier; plaidez au civil, demandez une séparation de corps et alors les coups que vous a donnés votre mari, sa conduite avec une vilaine femme, seront en votre faveur, et on le forcera de vous rendre votre fille; sans cela, il est dans son droit de la garder avec lui. Mais plaider! je n'ai pas de quoi, mon Dieu! j'ai mes enfants

Chevalier, fit Montmorency, vous plaidez la cause de vos humbles protégées avec une telle ardeur, que déj

Vous êtes un avocat dangereux quand vous plaidez contre monsieur de Villeroy. J'ai besoin du moins de m'exagérer vos talents pour diminuer ma faiblesse; vous aviez dans mon coeur un juge intéressé

Je demande l'amnistie. Je la demande dans un but de réconciliation. Ici les objections se dressent devant moi; ces objections sont presque des accusations. On me dit: Votre amnistie est immorale et inhumaine! vous sapez l'ordre social! vous vous faites l'apologiste des incendiaires et des assassins! vous plaidez pour des attentats! vous venez au secours des malfaiteurs! Je m'arrête.

Continuez, dit-elle, ne plaidez pas sa cause qui est gagnée; je l'aime puisque vous l'aimez. Hector porta la douce main qu'on lui donnait

L'HUISSIER, glapissant. Silence. Un pareil fripon appelle cela payer ses dettes! Est-ce votre faute, Avocat, que vous plaidez? Je défends cette demoiselle.

Moutier souriait et n'était pas malheureux du désir que témoignait Elfy de le garder un peu de temps. «Je ne dis rien, dit-il, parce que vous plaidez notre cause bien mieux que je ne pourrais le faire, et que j'ai trop de plaisir

Elle fit comme Aurore: elle baisa les mains liées du prisonnier... Et c'est vous! murmura-t-elle, vous qui plaidez ma cause! Elle reçut dans ses bras Aurore défaillante. Oh! ne la brisez pas! reprit-elle; c'est moi!... c'est ma jalousie!... c'est mon orgueil!... Ma mère! ma mère!... s'écria Aurore; vous me déchirez le coeur! Elles s'affaissèrent toutes deux sur le large siége.

Et, lorsque vous plaidez pour l'enfant de ce malheureux, vous avez au bras mon portrait! LA COMTESSE, en le détachant, le regarde. Monsieur, Monsieur, je le rendrai; je sais que je n'en suis pas digne. Ah! je perds la raison! Ma conscience troublée fait naître des fantômes!

Mon cher père, vous plaidez si bien que je me rallie

Mot du Jour

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