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Mis à jour: 24 mai 2025
La ville de Verone paiera une imposition de cent vingt mille sequins, qui sera affectée aux dépenses de l'armée. Elle paiera, en outre, une contribution de cinquante mille sequins, qui sera distribuée entre tous les soldats et officiers qui se sont trouvés assiégés dans les châteaux, et ceux qui formaient la colonne mobile qui s'est emparée de la ville.
L'une est en pronunciation, & expression de uoix: expression dicte quantité de uoyelle. Laultre en imposition de marcque sur quelcque diction. Du premier usage nous ne parlerons icy aulcunement: car il n'en est poinct de besoing.
On imposa en même temps une taxe tant sur les bourgeois des villes, que sur les gens de la campagne; imposition qui n'excita ni plaintes, ni murmures. Elle fut faite avec un tel ordre, que personne ne se trouva surchargé: ceux
Le latin ne dit pas précisément cela. «Legatio... quæ diu in Bajoaria, secondam præceptum ejus substiterat.» Borner. Abonnement, imposition de bornes, démarcation.
Des contributions directes, personnelles et réelles, sont établies dans une grande partie du royaume. Dans l'Artois et dans les provinces qui l'avoisinent, on paie peu de contributions directes; la corvée n'y existe pas; la taille et la capitation y sont converties en impositions indirectes. Il en est de même des contributions par les propriétaires de fonds: les centièmes établis depuis deux siècles étaient bien loin de produire une imposition proportionnée
Il est très possible que ce gouvernement général soit aussi bien, aussi fidèlement administré sans que le peuple s'en mêle, qu'avec lui: mais lorsqu'on lui a imposé de pesans fardeaux, on a toujours trouvé utile de faire en sorte que cette imposition parût en partie son ouvrage, attendu qu'il la supporte beaucoup mieux lorsqu'il croit qu'elle vient de lui, et que quand quelques mesures publiques lui semblent injustes ou désagréables, les roues du gouvernement ont de la peine
»Et finalement s'estimant hors de toute crainte, voulut par force introduire certaine imposition d'un dixième denier sur toutes sortes de marchandises et manufactures,
Le capital de la dette ainsi uniformisée fut converti en une masse de rentes de 200 millions par an. On crut devoir, pour remplacer les anciens impôts de différente espèce dont elle était grevée, la frapper d'une imposition foncière d'un cinquième, ce qui réduisait le service des intérêts
La population elboise imagina d'abord que la souveraineté de l'Empereur dispenserait l'île d'Elbe de toute imposition. On eut le tort de la laisser se bercer de cette idée trompeuse. L'époque du payement des impositions arriva, le percepteur dut poursuivre ceux qui ne payaient pas. À Capoliveri personne ne payait: le peuple de Capoliveri est la lie du peuple elbois. Lorsque le percepteur des impositions s'y rendit, la populace l'assaillit par un charivari, puis par des menaces, et il dut fuir. Le maire intervint avec énergie, mais la canaille ne respecte rien; la voix du maire fut méconnue; j'ai dit que c'était le meilleur maire de l'île d'Elbe, je le répète. Il n'y eut que deux ou trois propriétaires qui payèrent. On fit semblant de croire que l'Empereur ignorait ce qui se passait; on supposa que l'intendant agissait pour son propre compte; on savait le contraire; ce n'étaient que des prétextes pour ne pas payer. Des gendarmes furent envoyés
En cette héroïque journée de la Révolution bourgeoise, le sang ouvrier coula pour la liberté. Sur les cent combattants qui furent tués devant la Bastille, il en était de si pauvres, de si obscurs, de si humbles que plusieurs semaines après on n'en avait pas retrouvé les noms et Loustalot dans les Révolutions de Paris gémit de cette obscurité qui couvre tant de dévouement sublime: plus de trente laissaient leur femme et leurs enfants dans un tel état de détresse que des secours immédiats furent nécessaires. On ne relève pas dans la liste des combattants les rentiers, les capitalistes pour lesquels en partie la Révolution était faite. Il n'y eut pas sous le feu meurtrier de la forteresse distinction de citoyens actifs et de citoyens passifs. [Note: J. Jaurès. Histoire socialiste, La Constituante, p. 265. Les citoyens actifs étaient ceux qui payaient une imposition directe égale
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