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Cependant, pour ne rien omettre de ce qui peut intéresser la gloire des Portugais, il faut dire un mot des deux siéges de Diu, qui appartiennent

Il y a ja ung an passé Que je t'aime d'amour certaine Et ay couru et tracassé Pour te voir par mainte sepmaine Mais craignant reproche vilaine Jamais dire la cruaulté Ne osay ne la douleur et peine Que j'avoye pour ta beaulté Tempore non longuo loquitur sapientia surdo Nos que diu frustra non decet inde loqui

Le second siége de Diu, qui arriva sept ans après le premier, en 1545, fut beaucoup plus long, plus meurtrier, plus terrible, et non moins fertile en belles actions. C'était l'intrépide Khoïa-Djaffar qui commandait

Nulla placere diu, nec vivere carmina possunt, Quae scribuntur aquæ potoribus. Ut male sanos Adscripsit Liber Satyris Faunisque poetas, Vina fere dulces oluerunt mane Camoenæ.

Il paraît que le départ précipité de Soliman fut surtout l'effet de la politique de Djaffar. Ce ministre de Cambaye était las de la tyrannie et des violences des Turcs, qui avaient pillé la ville de Diu, et affectaient de parler en maîtres. Il crut que le joug des Portugais serait plus doux ou moins durable, et plus facile

Bientôt Diu se vit assiégé d'un côté par la flotte turque, et de l'autre par l'armée du roi de Cambaye, que commandait Khoïa-Djaffar, Maure de beaucoup de courage et d'esprit, qui, ayant servi chez les Portugais, tournait contre eux les leçons qu'il en avait reçues. Le siége fut poussé avec la dernière vigueur. Les Portugais, craignant quelque trahison de la part des habitans de la ville, l'avaient abandonnée, et s'étaient bornés

Exploits d'Almeyda et d'Albuquerque. Puissance et corruption des Portugais. Siége de Diu. Sylveïra et Jean de Castro.

Devant le char marchait un homme vêtu de la longue robe blanche de l'hiérophante égyptien et portait une «rypide» sur laquelle était brodé l'héraldique taureau doré des Borgia, dieu protecteur du pape Alexandre VI. Des adolescents en tuniques de drap d'argent, chantaient en s'accompagnant des tympanons: Vive diu Bos! Vive diu Bos! Borgia vive! Gloire au taureau, gloire au taureau, gloire

Lettres familières, XV, 4. Lettres familières, VIII, 11, «Non diù sed acriter nos tuæ supplicationes torserunt». Plutarque, Vie de Cicéron. Schulz, Hist. rom. par les médailles. CONQUÊTE DE L'ILE DE CYPRE ET DE L'

Le latin ne dit pas précisément cela. «Legatio... quæ diu in Bajoaria, secondam præceptum ejus substiteratBorner. Abonnement, imposition de bornes, démarcation.