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Mis à jour: 6 juin 2025


Mlle Berthe était payée, disait-elle, pour savoir ce que valent les idylles. Les pleurs, la souffrance, la faim, voil

Ajoutez un homme de la Pléiade qui serait plus grec que latin. Une des erreurs de notre seizième siècle, qui savait du reste aussi bien la Grèce que Rome, a été d'imiter les Romains plus que les Grecs, et, nonobstant la Défense et illustration, de piller plutôt le Capitole que le Temple de Delphes. Chénier est grec plus profondément, plus intimement. S'il est latin, et beaucoup trop, dans ses Elégies, il n'est que grec dans ses Idylles, dans ses fragments épiques, qui sont ses vrais titres de gloire. Homère, Théocrite, Callimaque Bion, et l'Anthologie, voil

Les idylles de Chénier sont la partie la moins travaillée de ses ouvrages, et cependant nous connaissons peu de poëmes dans la langue française dont la lecture soit plus attachante; cela tient

Aussi notez bien que cet isolement, il le sentait. Encore qu'il voulût rester longtemps inédit, il publiait, de temps en temps, quelques vers. Lesquels? Les idylles antiques jamais. Les élégies voluptueuses, non pas tout

Théocrite s'inspire de cette superstition dans ses idylles ; Pline l'Ancien en parle dans ses histoires ; Ovide enfin dans ses Amours explique ce qu'est le mauvais œil: Oculis quoque pupula duplex Fulminat, et gemino lumen ab orbe venit .

Bienheureux les amoureux qui commencent leurs rêves dans les Idylles de Théocrite, dans les Bucoliques de Virgile, dans les

Les serfs sont les seigneurs et les pauvres sont les riches. Le salaire de toute une année sonne contre leur genou dans la poche profonde comme un semoir. Jour de frairie, jour de kermesse révolutionnant les prêtres résignés de la terre! Chaudes matinées qui font éclore les idylles: soirs orageux, instigateurs de carnages!

Toutes les révoltes de la nature contre la douleur, toutes les imaginations de la philosophie, de la perfectibilité indéfinie et de la jouissance ne corrigeront pas l'amertume d'une larme de l'humanité. Pendant que les bergeries de cette philosophie de la transfiguration de l'homme en dieu ici-bas font couler dans les idylles les ruisseaux de lait et de miel, l'homme continue

Votre littérature nationale, mais elle n'existe pas, si je fais exception de quelques rares oeuvres d'écrivains et de poètes de votre pays qui ont célébré les héros de la Nouvelle-France et les patriotes de mil huit cent trente-sept. Tous les livres qu'on m'a signalés je ne parle, bien entendu, que des romans ne m'ont rien appris d'intéressant, d'inédit, sur le Canada et les canadiens. Vos romanciers n'ont fait qu'esquisser des idylles plus ou moins invraisemblables, n'ayant pas même le mérite de l'originalité. On a beaucoup imité le vieux roman français, quelquefois avec talent, ce qui démontre qu'on aurait pu faire mieux. Les personnages de ces romans n'ont rien de particulier qui les caractérisent et on ne découvre un peu de couleur locale que dans les descriptions de paysages et quelques épisodes de la vie canadienne. Il serait bien inutile de chercher des documents humains dans ces libres saturés de mysticisme et des plus propres

L'essentiel était que le public n'entendît trop les cris de la Valois. On la tenait dans la Bastille, sous la griffe de Delaunay, l'excellent gouverneur, le client des Rohan, qui savait comme on peut faire taire un prisonnier. On a fait de nos jours des idylles sur la Bastille. Dans la réalité, elle était douce aux gens qu'on ménageait (la Staal, Marmontel, etc.); mais pour d'autres, terrible. Sans croire aux in pace qu'on se figura voir dans l'épaisseur des murs, elle avait très-certainement au plus bas d'horribles cachots, boueux, l'eau entrait, et les rats d'eau, féroces, friands de nez, d'oreilles. La Bastille (comme le fort de Brest et tant d'autres prisons) avait ses légendes trop vraies, de prisonniers mangés, du moins attaqués jour et nuit, mordus et mutilés. Grand moyen de terreur. Pour n'être pas mis l

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