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Mis à jour: 17 juin 2025
Superbe allumeur d'or parmi les incendies, Les carnages, les révoltes, les désespoirs, Le peuple a ramassé sa légende, les soirs, A la veillée, et la célèbre en recordies. Avec un nœud d'éclairs il les tenait, ses Flandres, Un nœud de volonté son poing comme un beffroi Debout dans la colère aimantait de l'effroi Et s'abattait, et les cages devenaient cendres.
Mais, depuis des siècles et des siècles, la sécurité, le silence ont remplacé dans ce lieu les carnages et la peur. De nos jours, quelques braves contrebandiers peut-être s'y cachent encore. Autrement il n'y vient guère que des troupeaux de bœufs, des troupeaux de moutons qui, sans s'aventurer trop loin au milieu d'une si lourde nuit, cherchent de la fraîcheur
Et quand, repus de gloire et soûlés de carnages, Ils seront endormis dans l'éternel sommeil, De l'Orient divin, d'où sont venus les Mages, De l'Orient vainqueur renaîtra le Soleil! NE SOYONS PAS TROP D
Les serfs sont les seigneurs et les pauvres sont les riches. Le salaire de toute une année sonne contre leur genou dans la poche profonde comme un semoir. Jour de frairie, jour de kermesse révolutionnant les prêtres résignés de la terre! Chaudes matinées qui font éclore les idylles: soirs orageux, instigateurs de carnages!
Les carnages du début de la guerre ont fait place
«Liberté, égalité, fraternité, compréhension mutuelle, sympathie universelle toutes ces grandes idées qui pénètrent de plus en plus dans les esprits et imprègnent la raison humaine, ne mourront point dans les carnages d'une nouvelle grande guerre; mais, au contraire, dépouilleront sous le feu leur forme idéale, utopique, et apparaîtront comme des nécessités simples et pratiques, comme d'indispensables vérités.»
Ces carnages sont une école détestable de férocité qui déprave indignement l'homme. Les plus hideux instincts éclatent dans cette ivresse de bouchers. Honte de la nature! on voit alors en tous (même,
Le noble gentilhomme, peintre par le droit de la Révolution, commençait cette génération d'artistes qui s'arrangent eux-mêmes en croquis, en grotesques, {p.484} en caricatures. Les uns portent des moustaches effroyables, on dirait qu'ils vont conquérir le monde; leurs brosses sont des hallebardes, leurs grattoirs des sabres; les autres ont d'énormes barbes, des cheveux pendants ou bouffis; ils fument un cigare en guise de volcan. Ces cousins de l'arc-en-ciel, comme parle notre vieux Régnier, ont la tête remplie de déluges, de mers, de fleuves, de forêts, de cataractes, de tempêtes ou de carnages, de supplices et d'échafauds. Chez eux sont des crânes humains, des fleurets, des mandolines, des morions et des dolimans. Hâbleurs, entreprenants, impolis, libéraux (jusqu'au portrait du tyran qu'ils peignent), ils visent
Sentiment très humain et que se sont chargés de nous expliquer les psychologues. Nous ne souffrons jamais beaucoup (heureusement, car la vie serait intolérable!) des malheurs qui ne nous menacent point. Or, des carnages en Mandchourie, des égorgements et des incendies
On peut juger que si l'homme a ainsi traité l'homme, il n'a pas été plus clément ni meilleur pour les animaux. Des espèces les plus douces, il a fait d'horribles carnages, les a ensauvagées et barbarisées pour toujours.
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