Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 15 juin 2025
Les repas de Chrysanthème sont une invraisemblable chose. Cela commence le matin, au réveil, par deux petits pruneaux verts des haies, confits dans du vinaigre et roulés dans de la poudre de sucre. Une tasse de thé complète ce déjeuner presque traditionnel au Japon, le même que l'on mange en bas chez madame Prune, le même que l'on sert aux voyageurs dans les hôtelleries.
Quand elle marchait, elle avait l'air d'être enveloppée et portée par un souffle de mystère qui jouait dans ses cheveux blonds, comme le vent soulève et anime les touffes tombantes des viornes, le long des haies d'octobre.
La lune était sur l'horizon, mais cachée derrière des nuages, la nuit était belle et sèche, mais singulièrement sombre; les sentiers, les haies, les champs, les maisons et les arbres étaient enveloppés d'une ombre épaisse; l'atmosphère était lourde et brûlante; des éclairs de chaleur illuminaient de temps en temps les nuages, et c'était la seule chose qui animât un peu la triste obscurité dont la terre était couverte; aucun son ne se faisait entendre, excepté l'aboiement éloigné de quelque chien inquiet.
Quand Octave se leva le dimanche matin, comment ne vit-il pas Violette qui rôdait dans la campagne, les yeux sur le parc? Pour elle, elle l'aperçut qui fumait sur le perron. A quoi pensait-il? Il semblait rêver. Elle se demanda si son souvenir ne passait pas dans son âme. Elle eut envie de sauter par-dessus les haies pour aller dans ses bras! «Est-ce possible! se dit-elle. C'est lui et c'est moi!
«Ah! voyez-vous ça? vous croyez que nous allons laisser rôder des vagabonds par ici? Je sais bien ce que vous venez faire. Vous venez voir s'il n'y a pas du linge qui sèche sur les haies, ou quelque poulet égaré sur les chemins. Hein? Qu'est-ce que tu as l
Je vois comme vous, mon père, le peu de sûreté des femmes, méprisées, haïes
Pousse en été-automne, dans les bois ombragés, le long des haies, au bord des routes, et comestible comme toutes les Helvelles. Les Helvelles, de même que les Pézizes et les Morilles, font partie du groupe des Discomycètes.
Cependant, avec le mois de février, de plus claires journées étaient venues. L'air s'était attiédi, la neige s'était fondue dans les prés; un doux vent avait balayé les nuages, et le ciel était bleu par places. Au bord des haies, les chatons des noisetiers commençaient
Enfin je me laissai entraîner par eux, certain que nous n'atteindrions jamais ce rivage fantastique qui me semblait si loin. Mon fils prétendait savoir le chemin; mais, comme tout est chemin quand on a des bottes de sept lieues, et que depuis longtemps je ne marche plus dans la vie qu'avec des pantoufles, je lui objectai que je ne pouvais pas, comme lui et sa sœur, enjamber les fossés, les haies et les torrents. Depuis un quart d'heure je m'apercevais bien que nous ne descendions pas vers la mer, car le cours des ruisseaux venait rapidement
Parfois on put apercevoir une caravane se reposant dans un « kraal » en attendant la fraîcheur du soir pour reprendre sa route. Ce sont de vastes emplacements entourés de haies et de jungles, où les trafiquants s'abritent non seulement contre les bêtes fauves, mais aussi contre les tribus pillardes de la contrée. On voyait les indigènes courir, se disperser
Mot du Jour
D'autres à la Recherche