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Mis à jour: 4 août 2024


Cette appréciation factice tomba enfin, quand l'intimité lui montra dans sa compagne une femme véritable de notre temps et de notre pays, tout aussi belle peut-être dans sa simplicité que les héroïnes éternellement vraies des grands maîtres, mais modifiée par le milieu elle vivait, et ne songeant point

Elle s'y était réfugiée pour éviter le bruit des ouvriers, qui renouvelaient ses appartements et son jardin. J'y trouvai un jeune écrivain, d'âme sensible et de main magistrale, qui ne rougit ni d'aimer ni d'admirer, Paulin de Limayrac; une femme qui a perdu son sexe dans la mêlée du génie comme les héroïnes du Tasse, madame Sand.

Peu de temps auparavant, je me trouvais très jolie, et j'avais beaucoup plus de confiance dans mon opinion que dans celle de ma tante. Mais, en faisant connaissance avec les héroïnes de Walter Scott, le doute surgit dans mon esprit. Elles étaient si belles, que je me désolais en songeant qu'il fallait leur ressembler pour être aimée.

La France ancienne a ses héroïnes tout entourées d'auréoles et de religieuse poésie; les Canadiens, eux aussi, veulent pour leur pays des saintes et des héroïnes: «Parfois, aux jours suprêmes, dit encore Casgrain, la femme apparaît au premier rang pour le salut des peuples.

Adieu donc; je vous embrasse. Venez le plus tôt que vous pourrez. Du nom d'un ami de Duvernet appelé Decaudin. Héroïnes de divers fragments littéraires inédits de George Sand. Orléans, samedi 3 juillet 1831.

Gant Notre-Dame, Argemone, Eternelle, je vous préfère aux plus blanches mains, fleurs trépassées, fleurs de jadis. Flambe, cordiale flamme des torches mélancoliques, Gladiole, poignard tragique, rougi du sang des héroïnes, Serpentaire, colère des bras désenlacés, aspic sifflant dans les cœurs vides, suicide!

Mais il y a dans l'âme de Mlle de Guérin un principe de vie et d'immortalité qui n'existe pas dans les héroïnes de Walter Scott: c'est le mysticisme catholique exalté, qui donne la vie, la sainteté, l'émotion sacrée du martyre

On ne peut s'empêcher de vouloir reconstituer la figure de la plus célèbre peut-être des héroïnes de Burns. Les renseignements ne sont ni très précis ni très abondants. Tout ce qu'on possède sont quelques détails de biographie ou de caractère, clairsemés dans le mémoire que son petit-fils écrivit sur elle en 1843, lorsqu'il rendit publique sa correspondance avec Burns, quelques aveux et quelques jugements sur elle-même contenus dans ces lettres, et un portrait singulier tracé d'elle par R. Chambers qui l'avait connue. Le voici: «D'un style de beauté quelque peu voluptueux, de façons vives et aisées et d'une construction d'esprit poétique, avec quelque esprit et un degré de raffinement et de délicatesse qui n'était pas excessif, Mrs Mac Lehose était exactement le genre de femme qui devait fasciner Burns. On peut, en vérité, la décrire en disant qu'elle était, dame et élevée

Comme Atala liée par un vœu de virginité, comme Amélie amoureuse de son frère, la prêtresse Velléda est dévorée d'une passion qu'exalte son caractère criminel. Mais Velléda est la plus belle et la plus vivante des «héroïnes» de Chateaubriand. C'est peut-être que Velléda est une image plus développée de sa sœur Lucile. À vrai dire il n'avait pas

Alice, se sentant sous le regard méchant de son cousin, ne fit pas comme les héroïnes de théâtre, qui ont pour le public des a parte, des exclamations et des tressaillements si confidentiels que tous les personnages de la pièce sont fort complaisants de n'y pas prendre garde. Elle se conduisit comme on se conduit dans le monde et dans la vie, même sans avoir besoin d'être fort habile. Elle demeura impassible, accueillit le précepteur de son fils avec bienveillance, et, après quelques mots affectueusement polis, elle prit son enfant sur ses genoux pour le caresser

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