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Mis à jour: 7 mai 2025


Il rentra dans sa baraque, prit le corps de Geo, nous avons dit que Rig était d'une force extraordinaire; il l'enleva comme une plume, les pieds battant d'un côté, la tête et les bras de l'autre, évitant de se tacher de sang, et il courut jusqu'

Le vieux Rig, en reconnaissant celui qui lui parlait, avait aussitôt éteint sa lanterne. Ainsi placé absolument dans l'ombre, il n'était pas vu et voyait la silhouette de Georgeo se détacher plus noire sur l'obscurité moins intense de la nuit... Et, pour dépister le grand Geo, il se glissa sans bruit, comme une couleuvre, de l'autre côté de la pièce.

Bien!... Vite, vite, mon Geo, fit Iza en l'entraînant, craignant qu'il ne vînt

Et pourquoi ne partons-nous pas maintenant? Le maître le veut ainsi, et ce n'est que demain qu'il nous donne de quoi être riches... Tu entends, riches! Tu regretteras les jours passés ici. Non, mon Geo. Le maître a dit qu'il nous ferait bien riches... et il n'a jamais menti... et nous avons déj

Il vit que Geo étendait le bras dans la direction d'où la voix était partie, il se recula aussitôt. Geo faisait un pas pour être plus près de celui qu'il cherchait, et il demanda pour entendre sa voix et diriger son coup: Vieux Rig, veux-tu nous entendre et ne point garder toute la somme?

Pierre dit brusquement: Finissons-en, veux-tu être tranquille...? Veux-tu que j'oublie ce que tu viens de faire? Garde la part de Geo. Rends la part d'Iza et pars ce soir pour ne plus mettre les pieds en France; car, dans trois jours, Rig,... dans trois jours, entends-tu? les intérêts que j'ai

Iza, effrayée, lui montrant son mari, cria: Geo!... C'est lui; tue-le... tue-le! Et le grand Moldave obéit. On entendit encore un cri, dans le bruit de la glace brisée par le coup de feu.

Non, mon Geo!... Voici ce que nous devons faire... Ici, nous sommes maîtres: l'homme parti ce soir ne reviendra plus... C'est ici que tu me rejoins pour toujours... et demain seulement nous partirons... Celui qu'ils appellent mon mari ne m'est rien... L'homme qui nous a mariés n'est pas notre prêtre

P.-S. Ma chère maman, il ne faut pas pleurer, ce serait mal; il faut être courageuse pour mon papa et mes frères. Lettre écrite sur son lit d'hôpital par Géo FARRET, Soldat de 1re classe, quelques jours avant sa mort. Limoges, mardi 15 Septembre 1914. Chers Parents, C'est ici que j'ai échoué après avoir passé quarante-huit heures dans le train. Bien content d'arriver la nuit dernière.

Je vous embrasse de tout coeur, papa, maman, Jacques. N'oubliez pas d'embrasser pour moi bonne tante, tante Aimée et tous les Maufroy. Géo FARRET. Lettre du Sergent FILIPPINI, Pierre, 7e Régiment d'Infanterie, 7e Compagnie, tombé au champ d'honneur, le 25 Septembre 1915,

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