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Il ne quitta cette veine médiocre qu'une fois député. Jusqu'en 1791, la littérature l'occupe autant que le barreau. Il est membre de cette brillante académie du Musée qui avait organisé des cours publics et des récitations. En 1790, il s'en sépare avec éclat, pour fuir l'intolérance des ultra-royalistes, et il fonde, avec Ducos, Fonfrède et un de leurs amis, Furtado, un cercle littéraire qu'on appela ironiquement le Comité des quatre. Mais Guadet, Gensonné et d'autres patriotes s'adjoignirent bientôt

Cette ardeur des Girondins, si poétiquement dépeinte par Michelet, se montra, dès les premières séances de cette Assemblée composée d'hommes nouveaux et obscurs, qui se regardaient entre eux avec curiosité et inquiétude. Ce fut la députation de la Gironde qui rompit la glace, commença la bataille parlementaire et inaugura la tribune, établissant du coup son autorité sur l'Assemblée. Le 5 octobre 1791, Grangeneuve et Guadet ouvrent le feu,

(L'impression et l'envoi de cette adresse sont demandés par certains, repoussés par d'autres Guadet demande le renvoi de l'impression

Profitant d'une émeute de femmes qui avait fait quelque tapage aux portes et dans les tribunes de la Convention, le 18 mai, Guadet fit trois propositions audacieuses: «1° Les autorités de Paris sont cassées; 2° les membres suppléants de la Convention se réuniront

Copie de la lettre écrite au citoyen Boze, par Guadet, Vergniaud et Gensonné. «Vous nous demandez, monsieur, quelle est notre opinion sur la situation actuelle de la France, et le choix des mesures qui pourraient garantir la chose publique des dangers pressans dont elle est menacée; c'est l

Le même jour, Guadet monte

Il fut attaqué lui-même, il pardonna, il se montra sans cesse aux conspirateurs comme un conciliateur tolérant; il se fit un mérite publiquement de n'avoir jamais dénoncé ni Brissot, ni Guadet, ni Gensonné, ni aucun ennemi de la liberté! . Il leur tendait sans cesse la palme de l'olivier et le gage d'une alliance contre les républicains sévères.

Guadet, lui dit-il, tu as tort, tu ne sais pas pardonner, tu ne sais pas sacrifier ton sentiment

Ces salons si brillans, les hommes célèbres jouissaient autrefois de la gloire, , pendant tout le dernier siècle, on avait écouté et applaudi Voltaire, Diderot, d'Alembert, Rousseau, ces salons n'existaient plus. Il restait la société simple et choisie de madame Roland, se réunissaient tous les girondins; le beau Barbaroux, le spirituel Louvet, le grave Buzot, le brillant Guadet, l'entraînant Vergniaud, et régnaient encore une langue pure, des entretiens pleins d'intérêt, et des moeurs élégantes et polies. Les ministres s'y réunissaient deux fois la semaine, et on y faisait un repas composé d'un seul service. Telle était la nouvelle société républicaine, qui joignait aux grâces de l'ancienne France le sérieux de la nouvelle, et qui allait bientôt disparaître devant la grossièreté démagogique. Dumouriez assista

Je parle dans une tribune ! impudent Guadet osa me faire un crime d'avoir prononcé le mot de providence. Et dans quel temps! lorsque le coeur ulcéré de tous les crimes dont nous étions les témoins et les victimes; lorsque versant des larmes amères et impuissantes sur la misère du peuple éternellement trahi, éternellement opprimé, je cherchais