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Mis à jour: 21 mai 2025


Dans une maison de pauvres, au-dessus d'une cour grouillent des enfants loqueteux, une vieille femme consent

Mais voyagez; regardez grouiller les races, et l'homme n'est plus rien! plus rien, rien! Montez en barque, éloignez-vous du rivage couvert de foule, et vous n'apercevez bientôt plus rien que la côte. L'être imperceptible disparaît, tant il est petit, insignifiant. Traversez l'Europe dans un train rapide, et regardez par la portière. Des hommes, des hommes, toujours des hommes, innombrables, inconnus, qui grouillent dans les champs, qui grouillent dans les rues; des paysans stupides sachant tout juste retourner la terre; des femmes hideuses sachant tout juste faire la soupe du mâle et enfanter. Allez aux Indes, allez en Chine, et vous verrez encore s'agiter des milliards d'êtres qui naissent, vivent et meurent sans laisser plus de trace que la fourmi écrasée sur les routes. Allez aux pays des noirs, gîtés en des cases de boue; aux pays des Arabes blancs, abrités sous une toile brune qui flotte au vent, et vous comprendrez que l'être isolé, déterminé, n'est rien, rien. La race est tout? Qu'est-ce que l'être, l'être quelconque d'une tribu errante du désert? Et ces gens, qui sont des sages, ne s'inquiètent pas de la mort. L'homme ne compte point chez eux. On tue son ennemi: c'est la guerre. Cela se faisait ainsi jadis, de manoir

Lorsqu'elle sourit ainsi, de son âme ardente visible, elle captive, elle impose comme de la vénération émue. Un reflet vermeil s'épand sur le visage qu'il échauffe. Les lèvres se prolongent en courbes plus molles et vibrantes. Les joues dilatées grouillent de tressaillements. Les yeux, surtout, creusés, insondables, irradiés, se remplissent d'âme douce jusqu'

Seul, le gouverneur, qui allait suivre ses hôtes, est resté dans l'embrasure de la porte, un pied dans le vide. Pâle, il se jette promptement en arrière, et regarde avec stupeur cet amas d'hommes et de débris qui grouillent

Aux époques le quart d'heure de l'Exposition des tableaux approche, les peintres grouillent, s'agitent, se trémoussent, fouillent dans leurs ateliers et n'y trouvent rien ou presque rien. Tous les jours, deux mois avant le dernier moment, ils complotent de travailler et d'accoucher de grandes oeuvres. Mais ces gigantesques complots avortent et s'épanchent dans les petits cerveaux des peintres. Il ne résulte de tout cela que des discussions. La discussion est tout

La renommée de Georges Eekhoud ne s'étend pas aussi loin que celle de son illustre aîné. Georges Eekhoud est un sauvage, et un sauvage révolté. Sa passion de la nature égale, en ardeur, celle de Camille Lemonnier, mais elle reste âpre: jamais un sourire, jamais un abandon. Ou entend mordre, sous cet amour féroce et jaloux, la haine de tant d'autres choses! Sa jeunesse malheureuse développa chez Georges Eekhoud des instincts de bête traquée et défiante. Il ne s'est jamais apprivoisé depuis. La société lui inspire une sainte horreur; pour trouver grâce auprès de ce réfractaire, il faut exhiber des titres de misère; les vagabonds, les dévoyés, tous les parias de l'humanité qui grouillent dans les bouges et les cloaques ont plus de chance de l'intéresser

Au pied des Nilgherris, presque perdus dans les hautes herbes du marécage, grouillent les Iroulas, plus noirs , chétifs et malsains même que les Couroumbas, avec lesquels on pourrait facilement les confondre, sauf que ces malheureux ne s'adonnent

Pardonnez-moi, messer. Je vous importune tout le temps. Mais ce sera pour la dernière fois... Après je n'en parlerai plus... Croyez-vous, quand je pense aux Milanais, aux Français, au duc Sforza, au roi ils m'apparaissent risibles et piteux. Ils grouillent, se battent et s'imaginent qu'eux aussi accomplissent de grandes oeuvres ces vermisseaux rampants, ces scarabées sans ailes. Pas un d'entre eux ne se doute du miracle qui se prépare. Maître, figurez-vous seulement l'écarquillement de leurs yeux, lorsqu'ils verront les «ailés» planer dans les airs. Ce ne seront plus des anges en bois pour amuser la populace! Ils verront et croiront que ce sont des dieux. Moi, ils me prendront plutôt pour le diable. Mais vous, réellement, vous serez un dieu. Ou peut-être on dira que vous êtes l'Antechrist? Et alors, ils seront terrifiés, ils tomberont face contre terre et vous adoreront. Et vous ferez d'eux tout ce que vous voudrez. Je suppose, maître, qu'alors il n'y aura plus ni guerre, ni lois, ni seigneurs, ni esclaves, que tout sera transformé en quelque chose de si nouveau que nous n'osons même y songer. Et les peuples se réconcilieront, pareils

Il y a bien un nom duquel on avait l'habitude de m'appeler, mais depuis qu'il est tombé au bout de la langue de ceux qui grouillent dans les établissements , et qu'il a fait causer une quantité d'oisifs qui ne savent rien du tout, je n'ai plus de goût

Les esclaves sont aux champs; mais au premier étage 70 enfants de tout âge grouillent au soleil. Les uns sont nus, les autres plus ou moins vêtus. Je remarque une petite fille attachée par un pied

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