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Mis à jour: 3 juillet 2025
Il ne savait pas quel trésor il possédait, et moi j'ai accepté... parce que je vous adore, Fausta!» Elle se contenta de jeter sur lui un regard de mépris, puis, avec des larmes, relut encore la lettre. «C'est une plaisanterie, fit-elle soudain, se ressaisissant... Garcia va venir... C'est une plaisanterie. Ce n'est point une plaisanterie. Je vous aime.
Ce fut dans l'hiver de 1840-41 que j'eus, pour la première fois, l'occasion de voir et d'entendre Pauline Garcia, sœur de la Malibran, et qui venait d'épouser Louis Viardot, alors directeur du Théâtre-Italien
«C'est l'heure, dit Garcia, de nous rendre sous la fenêtre de nos belles. Que si le guet survient, vous n'aurez qu'
J'ai eu l'honneur de jouer avec lui dans l'opéra de l'illustrissimo maestra Rossini dans Othello. Garcia était Othello, je jouais Jago. Et quand il prononçait cette phrase: Pantaleone prit l'attitude d'un chanteur et d'une voix tremblotante, enrouée, mais toujours pathétique lança: L'i-ra daver... so daver... so il fato. Io piu no... no... no... non temero. ... Le théâtre tremblait, Signori miei!
Mais Garcia Fernandez était un homme trop instruit pour croire
La nouvelle qui suit est tirée de la Chronique générale espagnole. Elle fournit le sujet de deux romans fort rares aujourd'hui et presque inconnus, et de quatre tragédies dans la même langue. Le dernier de ces drames, mis au théâtre par don Vincent Garcia de la Huerta, est le seul qui y soit demeuré. C'est une des tragédies les moins irrégulières de cette nation.
Avec Rubini, avec Lablache, avec Tamburini, avec mesdames Garcia, Grisi et Persiani, l'opéra italien va nous quitter si on perd le temps
Je ne désire pas la voir. Votre air est singulier, ce soir...» Glacial, Don Juan lui tendit le billet de Garcia. Elle le lut rapidement, ne comprenant pas d'abord. Puis elle le relut, ne pouvant en croire ses yeux... Ses lèvres tremblaient, une pâleur mortelle couvrait son visage: «Garcia n'a pas écrit cela, dit-elle d'un effort désespéré. Vous reconnaissez son écriture.
Je suis de votre avis, dit Garcia, mais par le diable! pourquoi tenait-il tant, pour mourir,
Maintenant que j'ai dit, un peu plus longuement que je ne l'avais prévu, la haute importance du Théâtre-Italien, je vous rappellerai une des grandes pertes que vous allez faire si vous laissez périr ce théâtre. La France entière sait aujourd'hui combien serait cruel et irréparable le départ définitif de Lablache et de Rubini; mais la gloire de Pauline Garcia est encore assez fraîche pour que la province, qui n'a pas eu le temps, dans l'espace d'une saison, de venir la juger, se croie dispensée de regretter la grande artiste qu'elle ne connaît pas encore. Il ne faut pas craindre de revenir sur les éloges pleins de justesse et d'intelligence qui lui ont été donnés déj
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