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Mis à jour: 2 juin 2025


Léonce croira que je fuis par un sentiment pusillanime, parce que mes ennemis m'ont épouvantée; il le croira, et je suis condamnée

Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j'ai du goût, ce n'est guères Que pour la terre et les pierres Dinn! dinn! dinn! dinn! Mangeons l'air, Le roc, les terres, le fer, Charbons. Mes faims, tournez. Paissez, faims, Le pré des sons! Attirez le gai venin Des liserons;

LE BOUFFON. Êtes-vous prêt, monsieur? LE DUC Oui, je t'en prie, chante. Viens; ô mort! viens; Qu'on me couche sous un triste cyprès: Fuis, fuis, souffle de ma vie. Une beauté cruelle m'a donné la mort. Semez de branches d'if mon blanc linceul; Préparez-le. Jamais homme ne joua dans la mort un rôle aussi sincère Que le mien.

Ah! si tu avais habité comme moi le château des Géants durant des mois entiers, tu saurais que la tranquillité n'est pas la vie! Mais qu'appelez-vous de la musique tranquille? De la musique trop correcte et trop froide. Prends garde d'en faire, si tu fuis la fatigue et les peines de ce monde

«Fuis, malheureux! s'écria Aramis en lui jetant sa calotte au visage; retourne d'où tu viens, remporte ces horribles légumes et cet affreux entremets! demande un lièvre piqué, un chapon gras, un gigot

Adieu, je te fuis, je ne veux jamais te revoir, je deviendrais lâche et méchant aussi avec toi.

Depuis longtemps, ce combat durait lorsque nous vîmes quelque chose qui descendait du ciel avec la rapidité de la foudre. Dieu! s'écrie le malheureux, je suis sauvé. Fuis, démon infernal, fuis, voil

Au bout de l'univers je fuis dans une manse; Adieu, grand prince, adieu; tenez-vous guilleret.

Ah! c'est je t'attends. Tu ne saurais partir, perfide, et je t'entends. Je sais pourquoi tu fuis l'hymen je t'envoie: Il te fâche en ces lieux d'abandonner ta proie; Monime te retient. Ton amour criminel Prétendait l'arracher

Tu m'as défendu, je le sais, avec générosité, avec courage; mais que peux-tu, que pouvons-nous l'un et l'autre contre la honte que j'ai acceptée par le plus indigne amour? Madame d'Albémar m'a perdu. Ma réconciliation avec M. de Mondoville est une tache que toutes les eaux de l'Océan ne peuvent laver. Je me suis battu trois fois avec des officiers de mon régiment; tout a été vain. Je fuis, je quitte la France, repoussé de mon corps, ruiné, flétri, sans espoir, sans avenir. Les lois contre les émigrés vont m'atteindre; mes biens seront saisis, moi-même exilé, poursuivi par des créanciers avides, n'ayant plus de patrie, peut-être bientôt plus d'asile. Et pourquoi tant de malheurs! parce que les larmes d'une femme m'ont attendri, parce que ce caractère si dur, me dit-on, si personnel, si haineux, n'a pu résister

Mot du Jour

n'usait

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